Marie voulait aller danser.

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Marie voulait aller danser.Il est 7h30 du matin, je viens d’arriver au bureau, j’ai une tasse de café à la main quand mon mobile bipe, un sms vient d’arriver. Je me saisi de mon Erikson GH337, rien à voir avec les smartphones d’aujourd’hui, et je lis :« Coucou mon cœur, serais tu dispo pour m’emmener danser samedi soir. Marie »Cela faisais environ deux ans que notre relation avais commencé, et savais que Marie adorait danser, qu’Henry n’aimait pas ça, et que cela faisait parti des nombreux reproches qu’elle lui faisait. Il était devenu, après avoir été le père de leurs deux enfants, le colocataire. Elle avait surtout pitié de cet homme qu’elle avait profondément aimé et qui aujourd’hui n’était plus que le père de Laura et Vincent. Elle acceptait malgré tout, quelques rapports occasionnels, toujours par pitié, mais disait qu’il s’agissait du devoir conjugal. Il n’aimait rien de ce qu’elle aimait, ni la danse, ni les sorties randonnées, ni les soirées entre amis, ni même le sexe et cela depuis toujours.Jusqu’à notre rencontre, ou plutôt jusqu’au le début de notre relation, Marie s’organisait avec quelques amies, puis sa sœur depuis leurs mutations, pour aller marcher, danser, sortir. Mais pour le sexe, rien, malgré les incitations de quelques copines moins farouches, elle s’y refusa. Pourtant elle lui reprochait systématiquement de ne pas avoir eu de plaisir, que leurs rapports étaient trop court et que même si son sexe n’était pas très gros, il n’était surtout pas très dur. Les rapports duraient quelques minutes, ne comportaient pas de préliminaire, si ce n’est les courtes fellations que Marie lui prodiguait pour lui permettre d’avoir une érection acceptable. Courtes, car les fois ou elle essayait d’obtenir mieux, il éjaculait sans crier gare dans sa bouche. Non pas que l’éjaculation buccale la dérangeait, mais le manque d’attention envers elle, le fait qu’il s’endorme comme un bébé après son biberon, sans lui faire le moindre câlin, lui devenait insupportable. Comme elle disait, « c’est moi qui tète, c’est lui qui dort ! ». Donc, ce matin là, à la réception de son message, je lui répondais :« Ok, je m’organise et passe te prendre vers 20h, je t’emmène diner avant d’aller danser »« Génial, je n’en espérais pas tant, mais avec grand plaisir. Doux baisers. Marie. »Je devais m’organiser, car comme le savait Marie, j’entretenais une nouvelle relation avec une copine dite « la régulière » depuis quelques mois et je devais trouver un prétexte pour sauter un week-end. Le week-end étant les seuls moments ou nous pouvions nous retrouver puisque Valérie travaillait à la Capitale. Je n’ai pas eu besoin de mentir, c’est elle qui m’appela, alors que je tentais d’élaborer un plan, pour m’annoncer qu’elle serait bloquée à Paris le samedi et ne descendrait pas à Marseille pour une journée. Cet imprévu m’arrangeait bien, mais je faisais mine d’être déçu en lui disant qu’il me tardais d’être le week-end suivant. Le samedi, après une journée de travail au bureau, je passe à l’étage pour me préparer. Depuis mes débuts professionnels, les affaires marches correctement et grâce à mon travail, j’ai réussi à acheter la petite maison de ville où était mon bureau et y avais élu domicile après quelques gros travaux. Une fois douché, rasé, parfumé et habillé, je saute dans ma Golf et file vers le domicile de Marie. Je décide de me garer sur le parking dans le village et lui envoi un message lui donnant ma position. Trois minutes plus tard, elle arrive avec sa voiture, se gare et en descend. Elle m’apparaît resplendissante, maquillée comme rarement je ne l’ai vu, sans exagération, un maquillage fin et délicat qui met en valeur illegal bahis ses immenses yeux de biche. Elle porte un ensemble, blouson et jupe de cuir noir, un chemisier rouge très décolleté laissant entrevoir la dentelle de son sous vêtement de la même couleur, des escarpins assortis ainsi que des bas noirs. Elle me sourit, monte dans ma voiture, me pose un baiser sur les lèvres, attache sa ceinture de sécurité et me dit :« Je suis aux anges, tellement heureuse, c’est notre première soirée ensemble. »Tout en prenant la route, je me dis qu’effectivement notre relation n’était basée que sur les rencontres du mercredi après-midi. Je lui dis :« Puisque c’est notre première soirée, qu’est ce qui te ferait plaisir ? »« Tout ce que tu voudras, ce soir je me sens libre, femme et tienne. Henry sait que je ne rentrerai que demain.»« Tu lui as dis que tu ne dormais pas chez toi ? »« Oui, je n’en pouvais plus de mentir, je lui ai dit que j’avais un amant avec qui je prenais mon pied et qui me faisais me sentir femme. »« Oh merde, ça a dû être un choc pour lui, non ? »« Non, il n’a dit qu’il s’en doutait, qu’il était désolé, qu’il me comprenait car il m’aimait plus que tout au monde mais qu’il ne savait pas me rendre heureuse. Il m’a fait pleureur ce con ! »« Il t’a demandé qui était ton amant ? »« Non, rien, il n’a simplement souhaité de prendre du plaisir et de revenir, au moins pour les enfants. Je l’ai rassuré et lui ai dit que pour moi, comme pour toi,sans te nommer, il n’est pas question de briser notre couple. Pour moi, aller voir ailleurs, c’est combler le manque sexuel et rien d’autre.»Je la regarde d’un air dubitatif, elle me regarde et reprend avant même que je n’ouvre la bouche.« Là, j’ai un peu menti, au fond de moi je sais que je t’aime, mais nous savons tous les deux que ta vie est ailleurs, avec une femme, des enfants, pour moi c’est fait et je n’imagine pas séparer mes enfants de leur père. »Elle sort un mouchoir en papier, rabat le pare-soleil et essuie délicatement les larmes qui font couler son rimmel. Elle me regarde avec un sourire un peu forcé et me dit :« Voilà, je ne ressemble plus à rien, moi qui m’était faite belle pour toi. »« Tu es belle au naturel, tes yeux n’ont besoin d’aucun artifice »Nous roulons tranquillement en direction du bord de mer, par des petites routes sinueuses au milieu des bois, Marie une main posée sur ma cuisse, le regard vague, fixé sur la route qui défile. Elle me regarde et me dit de but en blanc :« Arrêtes toi dès que tu peux, je veux que tu me baises tout de suite »Je la regarde, interloqué, elle ne m’a pas habitué à de telles paroles. Marie est d’un naturel timide et réservé, jamais un mot grossier, sauf peut-être pendant l’amour, et un ton toujours bien à-propos. Là, tout était bien différent.« Tu veux faire l’amour maintenant ? » lui dis-je comme pour corriger son dérapage verbal.« Non, je ne veux pas faire l’amour. Je veux que tu me baises comme une salope, comme une trainée, comme une pute. » Me répondit-elle avec un regard noir et un ton très directif.Je quitte donc la route principale pour un petit chemin forestier sur lequel j’immobilise la voiture, devant une barrière DFCI. Marie retrouve lentement le sourire et ses yeux recommencent à pétiller. Je sort de la voiture, la contourne, et viens ouvrir la portière passager. Marie se lève et remonte sa jupe jusqu’à la taille, me faisant découvrir son petit string rouge qui dissimule avec peine son abricot gonflé. Elle claque la portière, pose une main sur le capot de la Golf, de l’autre, écarte son string et d’un signe de la tête me fait comprendre que c’est à moi de jouer. Je dégrafe ma ceinture, illegal bahis siteleri déboutonne mon 501, le fait glisser en même temps que mon caleçon jusqu’aux genoux. Impatiente, Marie me lance :« Aller, dépêches toi un peu, j’ai envie de me faire défoncer, aller viens, prend moi directement, viens vite. »Et, c’est sans autre forme de procès que je me suis introduit violemment dans sa petite chatte serrée, la faisant hurler de douleur. Malgré son excitation bien visible et une lubrification naturelle abondante, Marie était particulièrement étroite, en temps normal, il me fallait de longs préliminaires pour la détendre suffisamment et la pénétrer sans douleur. Là, je forçais les chairs intimes et fragiles de son fruit d’amour. Comprenant bien que j’étais inquiet sur son état, elle me regarda par dessus son épaule et me dit :« Mon chéri, ne t’inquiètes pas, ça va aller, vas y, défonce moi à fond, fait moi jouir comme jamais »Rassuré par ces quelques mots qui m’excitaient autant qu’ils me surprenaient, je posais mes mains sur ses hanches et commençait à manœuvrer en profondeur. Elle criait, criait et criait encore à chacun de mes déplacements en elle. Son sexe était si crispé que j’avais l’impression de la violer. Sans cesse, elle me regardait et me demandait d’accélérer. Je la prenais comme jamais, de plus en plus vite, de plus en plus profond, de plus en plus violemment. Son corps était secoué, chacune de mes pénétrations la soulevait du sol, ponctué par un cri, des cris dont la tonalité était en train de changer, ils n’étaient plus les mêmes. La douleur avait quitté son corps, elle avait fait place au plaisir. Les cris étaient devenus des gémissements, son sexe s’était détendu et son fruit de plus en plus juteux facilitait encore mes allers retours. Puis tout à coup, son corps se crispa de nouveau, ses jambes se raidirent, son sexe se rétracta comme pour thermoformé ma queue plantée en elle, elle releva la tête violemment pour regarder le ciel qui s’assombrissait en hurlant son plaisir :« Putain, je jouiiiiiis……. Putain, que c’est bonnnn…. »Je restais planté là, sans bouger, à la regarder jouir, à voir trembler son corps, à la sentir se liquéfier autour de mon pieu profondément fiché en elle. Je ne savais quoi faire, je la laissais reprendre ses esprits. Quelques instants plus tard, elle me demanda de me retirer, regarda mon membre toujours tendu et me dit sur un ton toujours aussi directif, mais avec un sourire très coquin :« Mon cœur, je veux te sentir jouir en moi, mais pour ça…. » elle se repositionna, une main sur le capot de la voiture et écartant la ficelle du string de l’autre et tendant ses fesses vers moi, ajouta :« Encules cette pucelle qui s’offre à toi, aller viens, encules la. »« Mais, Marie, tu m’as toujours dit que par là, ce ne serait pas possible, je ne veux pas te faire mal. »« Aller, viens, ne te fais pas prier, tu en meurs d’envie et moi aussi, alors….. Et puis pour moi souffrir par ta queue, c’est jouir, alors fais nous jouir, prend moi. »Je m’avance vers ce magnifique petit cul tendu vers moi et près à s’offrir, à s’ouvrir, enfin je l’espère. C’est avec quelques réticences que je commence à récolter, avec deux doigts, un peu de cyprine s’écoulant encore de son sexe écarlate, comme tuméfié par mes coups de boutoir, et enduire l’extérieur de son anus. Avant que j’introduise mon index pour la préparer, elle se relève et me dit :« Je te demande de m’enculer, pas de ma caresser la rondelle, alors vas y déchires moi le cul, s’il te plait, déchires moi. »Décidément, je ne reconnaissais plus ma Marie. Mais puisque c’est ce qu’elle souhaite. Je pose ma main gauche sur canlı bahis siteleri sa fesse droite, avec le pouce, j’écarte un peu plus ses globes, admire sa rosette à laquelle j’ai jusque là rêvé, et avant de venir m’y écraser, je crache rapidement dans ma main droite et recouvre mon gland de salive. Je présente mon sexe gonflé à bloc devant l’offrande et commence à pousser. Son œillet résiste et voyant la taille de mon gland écraser cette minuscule fleur, j’ai peur, peur de la blesser irrémédiablement, de commettre l’irréparable. Sentant mon appréhension, Marie m’encourage et me demande de s’enfoncer en elle sans réfléchir. Je lui demande alors de m’aider en forçant elle aussi, comme pour déféquer, pour ouvrir ses sphincters et éviter le déchirement. Je relâche un peu la pression, et constate qu’elle suit mes conseils, son petit anus devient saillant, le petit bourgeon éclot pour devenir fleur, c’est le moment que je choisis pour la butiner. Je pousse d’un coup, mon gland s’engouffre dans cette faille et disparaît, suivi par plus de la moitié de mon membre. Marie, gémit lors de ce dépucelage, je suis surpris de ne pas l’entendre hurler sa douleur à toute la forêt. Elle me regarde par dessus son épaule, un petit sourire illumine son visage et me dit :« Je n’avais jamais imaginé que tu puisses entrer si facilement par là, tu aurais dû me forcer la main il y a bien longtemps. Tu dois être rassuré maintenant, alors lâches toi, je veux que tu me casses le cul bien comme il faut. » et sans me regarder ajoute, comme pour m’encourager:« Aller en avant mon cœur, fais toi plaisir, encules la petite salope que je deviens pour toi. »Sur ces mots, je retire la partie de ma queue déjà en elle, ne laissant que le gland distendre sa fleur, puis par un violent coup de rein vers l’avant encouragé par un râle d’homme des cavernes, je m’enfonce en elle jusqu’à la garde lui faisant lâcher un puissant gémissement de bonheur. Aucune résistance, ma queue glisse en elle comme dans une motte de beurre, la sensation est aussi agréable qu’inattendue. Je m’active en elle et les seuls sons qu’elle émet sont des gémissements. Marie est plus large du cul que du vagin, c’est incroyablement délicieux. Je peux même dire que je suis très alaise, mes vas et viens vont bon train, je la pilonne puissamment et mon plaisir est décuplé par ses gémissements. Je regarde mon pieu s’enfoncer entre ces petites fesses, je me retire et découvre son anus ouvert, bien rond, bien large tel un gouffre dans lequel je replonge aussitôt. Mes bourses se tendent, la chaleur monte de mon sexe jusqu’à mon cerveau, la sève file dans mon manche jusqu’à l’éruption finale en se répandant par plusieurs jets de lave brulante dans l’intestin de Marie. Le raz de marrée qui l’inonde lui fait atteindre un orgasme encore inconnue et d’une puissance rare, elle hurle de plaisir, insulte tous les dieux, supplie pour que le plaisir ne s’arrête jamais puis s’effondre sur le capot de la Golf, les sphincters crispés et resserrés autour de ma queue qui semble vouloir rester bien au chaud jusqu’à ce que mort s’en suive. Il me faut attendre plusieurs minutes dans cette position et attendre que mon sexe retrouve un repos total pour enfin l’extraire de cet anus qui a reprit sa taille originelle. Je repositionne la ficelle du string entre les deux fesses de Marie, remet en place sa petite jupe de cuir noir, relève la belle et l’embrasse tendrement. Elle est vidée, totalement détendue, me rend mon baiser et me dit :« Mon cœur, j’ai vraiment adoré cette baise »« Moi aussi ma puce, je t’ai connu clitoridienne par défaut, je t’ai rendu vaginale et te voilà maintenant annale. »« Me voilà parfaite » me dit-elle avec un immense sourire.« Oui, je crois qu’on peut le dire. Et maintenant, allons diner. »« Avec plaisir, tout ça m’a ouvert l’appétit. »Nous nous installons dans la voiture et reprenons la route vers le restaurant.A suivre….

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