Mûres24/Madame m’engage comme lécheur

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Mûres24/Madame m’engage comme lécheurA peine dépucelé par Olga, ma logeuse de vingt ans de plus que moi, je ne l’ai pratiquement plus baisée, mais régulièrement léchée. Etrange situation, elle aimait pourtant mes coups de queue, jugés par elle “très efficaces”.J’avais quitté la maison familiale pour loger chez Olga pour poursuivre mes études dans une autre ville.J’entretenais une relation bien cachée avec cette femme sévère, dont le caractère revêche donnait confiance à mes parents (c’était une connaissance d’une amie de la famille).Ils étaient loin de savoir que plusieurs fois par semaine, leur fils s’activait de la langue avec application, le nez dans la touffe de la dame.Olga s’était laissé séduire par ma douceur, ma naïveté, en tel contraste avec la brutalité de son ex-mari., et avec l’ambiance de son pays d’origine.elle s’était laissé enfiler par le jeunet sans expérience que j’étais.Assis côte à côte sur un canapé, nos mains s’étaient cherchées, nos lèvres s’étaient trouvées, et la dame m’avait invité à monter sur elle, m’attendant nue sur son lit.Je m’étais déshabillé nerveusement, ma queue vigoureuse et tendue formait un contraste avec mon corps fluet, et je l’avais enfilée dans une l’ambiance estivale, le soleil ne filtrant que faiblement par les volets fermés.Elle aurait eu elle-même beaucoup à découvrir dans le sexe. Elle ne suçait pas, ne se comportait pas de manière halkalı escort érotique.Elle semblait apprécier la vigueur de ma jeune queue, mais ne me laissait pas jouir dans son vagin, par peur d’être enceinte. Pour certaines raisons, elle refusait catégoriquement de prendre la pilule.Elle ne m’autorisait à gicler en elle que pendant un jour ou deux à la fin de ses règles. Encore fallait-il que Madame soit satisfaite de son protégé -tu vois, tout va mieux quand tu travailles bien, m’avait-elle dit lorsque, satisfaite de mon comportement, j’avais eu le privilège d’éjaculer dans la chatte de madame la professeure.Sa fille Agata, une jeune fille de mon âge, n’était pas censée savoir que, derrière la paroi, maman se faisait enfiler par un garçon de son âge.il fallait se cacher, même à la maison. J’avais heureusement lu quelques revues telles que Union, et brûlait depuis longtemps de pratiquer les cunnilingus. Cette pratique me faisait tellement fantasmer que, à l’école secondaire, toutes les filles de ma classe s’étaient fait lécher par ma langue virtuelle.peu après mon dépucelante, je m’étais placé d’autorité entre les cuisses d’Olga, peu dégourdie décidément, pour m’enivrer du goût un peu salé de sa vulve. Sans subtilité, mais avec une douceur et une patience instinctive, j’avais léché, léché, léché, avec application.A chaque fois, Olga se mettait şişli escort à onduler le bassin dans une danse imperceptible et lancinante, si souple pour une femme au caractère rigide. Les vagues s’amplifiaient jusqu’à une culmination faite de tremblements, de petits cris étouffés.Les séances de sexe avec Olga se déroulaient donc ainsi:-je la pinais quelques minutes.-Elle me repoussait, écartait les cuisses, et je me mettais sagement le nez sur sa touffe pour la bouffer, essayant parfois quelques variantes, comme de pulser ma langue bien raide dans le vagin. Je provoquais toujours la houle tropicale faite de vagues, de cris et de mouille.-Je me couchais sur le dos, complètement excité, la mâchoire ankylosée et la bouche pleine de cyprin. Olga m’accordait alors une branlette, faite de mouvements rapides en changeant de main plusieurs fois, afin de reposer son poignet.J’aurais pu jouir immédiatement sous l’effet de ma propre main, mais j’aimais me faire traire la bit par cette dame qui roulait les r, m’apportant quelques échos de ces peuples lointains situés à des heures et des heures d’Orient Express, dans des régions inconnues, des forêts interminables, où vivent des paysans barbus et des jeunes filles à tresses.La jouissance était longue à monter, car les pincements saccadés d’Olga n’étaient pas de nature à me mettre en transe.Je sarıyer escort sentais le sperme monter longtemps à l’avance, je pouvais visualiser plusieurs étapes d’ébullition, d’abord par une crispation des couilles, ensuite par une intensification vibrante de toute la queue, préparant la montée du mercure dans le thermomètre.Olga choisissait parfois ce moment précis pour se moucher, se gratter le nez ou pour changer de main.La progression devenait alors une régression. Le serpent se repliait sur plusieurs étapes, impatient de se redéplier pour la prochaine étape de la branlette.Olga s’appliquait à faire gicler son garçon lécheur.Il m’était arrivé, en l’absence d’Olga, d’imiter le mouvement de sa main, c’est-à-dire de me branler mal tout exprès, pour revivre les mêmes sensations. D’habitude, je me branlais à deux mains, en rêvant que plusieurs jeunes filles se disputaient le privilège de me sucer, ou m’invitaient à m’enfoncer en elles, les cuisses écartées, en me clignant de l’oeil.Je n’arrivais pas à m’exciter en imaginant pénétrer Agata, la fille d’Olga. trop compliquée, pas assez jolie, trop rabat-joie, l’air trop boudeuse et exigeante. J’avais essayé, par jeu, par perversité.Mais j’aurais souhaité la rencontrer bien des années plus tard, dans un club échangiste, comme cet ami instituteur qui avait retrouvé une ancienne élève dans ces circonstance. Il s’était approché d’elle, alors qu’elles était assise au bord de la piscine intérieure du club, les pieds dans l’eau. L’ex-élève avait écarté les cuisses pour se faire lécher par son professeur. C’est tout à fait légal, et très excitant.Dans le même cas, je pense que j’aurais retourné Agata, et l’aurais enculée debout.

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