Voyage de Noces en Afrique

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Babes

Le texte original provient d’un tabloïd britannique, le genre de journal qui publie des histoires “vraies” particulièrement croustillantes. Ce qui est curieux, dans ce récit publié comme un rapport de police, c’est de constater à quel point il est détaillé. Cela se lit presque comme une histoire érotique. Le pseudo-journaliste fournit tellement de détails scabreux, que je me suis pris au jeu de vous narrer ce qui s’est “réellement” passé.

N.B.: Dans la vraie vie, les femmes n’aiment pas être violées …

Un couple de jeunes britanniques, en voyage de noces, a été attaqué vers 2 heures du matin, par un groupe de quatre malfrats. Ils dormaient dans le chalet qu’ils avaient loué à proximité du parc Bonaero, près de Johannesburg.

On est au début des années 90, c’est la fin de l’apartheid, le pays vit une transformation politique et sociale importante, des bandes de jeunes désargentés errent à travers le pays, la police et l’armée peinent à reprendre le contrôle.

Les jeunes gens se sont mariés 2 jours plus tôt, en Angleterre, pays dont est originaire la jeune femme. Le jeune homme, lui, est originaire d’Afrique du Sud. Ils se sont rencontrés et mariés en Angleterre. Ils ont décidé d’utiliser l’argent récolté à l’occasion du mariage pour visiter la famille et le pays du marié, pendant leur voyage de noces.

Si ils avaient loué un chalet à l’intérieur du parc ou une chambre dans un hôtel, ils auraient été en sécurité, protégés par les gardes. Mais ils n’avaient pas assez d’argent, et ils ont choisi cette solution économique de louer un petit chalet isolé dans la banlieue.

Ils dormaient tranquillement dans leur lit quand ils ont été réveillés, vers 2 heures du matin, par une troupe de 4 jeunes crapules, désireux de se faire un peu d’argent rapidement. Maintenus, ils ont été rapidement immobilisés par des cordelettes. Pieds et poings liés, attachés solidement aux montants du lit, ils étaient incapables de se défendre.

Deux des voyous, plus âgés, ont commencé à saccager l’intérieur du chalet, à la recherche de tout ce qui avait de la valeur. Les deux autres, semble-t-il un peu plus jeunes, sont restés près du lit.

Les deux jeunes mariés dormaient nus, et le buisson blond-roux que la jeune femme avait sur le pubis semblait les intriguer. Le gars qui se trouvait près du mari a remarqué le sexe recroquevillé de peur du jeune marié, lui a donné une chiquenaude accompagné d’un commentaire incompréhensible dans sa langue, ce qui a bien faire rire les deux salopards.

Il a recommencé à plusieurs reprises, secouant du bout de l’index le kiki qui se ratatinait de plus en plus, et ils hurlaient de rire. Le jeune cambrioleur qui se trouvait du côté de la jeune mariée ne restait pas inactif. Se caressant le sexe par-dessus son pantalon d’une main, il laissait l’autre main errer sur le corps nu et offert à sa convoitise de la jeune épousée.

Du bout des doigts, il caressait l’air absent le mamelon gonflé, la gorge diaphane, les lèvres pulpeuses, puis se décida à empaumer et à palper le sein ferme et arrogant. La jeune mariée se tortillait, impuissante à échapper à la main baladeuse, qui caressait son ventre et descendait encore. La main atteignit le buisson blond-roux, ses doigts jouaient avec les poils dorés, effleuraient le clitoris, et une étrange langueur s’emparait de la jeune mariée.

Brusquement, l’index fouineur s’immisça dans sa chatte, lui arrachant un cri de surprise et de douleur mélangé. N’ayant pas été préparée, elle était sèche et l’introduction brutale du doigt avait été douloureuse autant qu’inattendue. Mais le gars avait de la suite dans les idées, et il s’est acharné à lui doigter la chatte sous les commentaires probablement salaces du copain qui secouait la bite du mari.

La jeune femme ne restait pas totalement insensible au traitement infligé, et sa respiration s’accélérait nettement pendant que sa chatte s’humidifiait. Le jeune agresseur a retiré son doigt pour le porter à son nez, le sentir, puis à sa bouche pour le sucer.

Il a émis un commentaire à l’attention de son pote mais celui-ci ne l’écoutait plus, inquiet par le calme revenu à l’intérieur du bungalow. Il s’est absenté pour rejoindre les deux autres qui cherchaient un butin dans le logement.

Le jeune violeur a détaché un des pieds de la jeune femme pour approfondir son exploration de la petite chatte blanche.

Il s’est installé sur le matelas, entre les jambes écartées de la jeune femme sans défense, alors que son mari était allongé à côté d’elle.

Le voyou souriait en tripotant le corps nu et sans défense de la jeune mariée, pendant que son mari, à côté d’elle se tortillait et grondait en redoutant ce qui allait se passer. La jeune femme était offerte, allongée nue sur le dos, jambes écartées, épouvantée de devoir subir les attouchements de ce type devant son mari impuissant à la défendre.

Très croyante, elle s’était préservée jusqu’au mariage. Et comme elle n’avait pas eu le temps de faire le nécessaire, depuis deux jours, son jeune mari utilisait des Escort Bahçeşehir préservatifs en attendant qu’elle prenne la pilule.Il était hors de question que ce malfaiteur rentre son bâton de chocolat dans son vagin fertile et l’imprègne de sa semence.

Elle espérait que le maigre butin qu’ils pourraient trouver dans le chalet, autant que le désir de fuir au plus vite le lieu de leur forfait, lui permettrait d’échapper à la concupiscence de son violeur et qu’il se contenterait de la tripatouiller.

Même si cela la faisait enrager de perdre l’argent donné à son mariage et ses bijoux, elle préférait cela plutôt que de subir cette racaille, qui se penchait sur elle pour lui téter les nichons. À présent, il avait inséré deux doigts dans sa chatte qui s’humidifiait, le pouce pressait son clitoris, et sa bouche mâchonnait ses tétons qui se dressaient.

De nouveau, sa respiration se faisait difficile, et son mari à côté d’elle l’exhortait à résister à son agresseur.

Elle pensait bravement qu’elle ne voulait pas devenir une statistique du taux de criminalité en Afrique du Sud.

“Plutôt mourir que de céder à ses avances!” l’encourageait son mari.

Mais déjà son agresseur se relevait, dégrafait son pantalon et l’ôtait. Il devait croire qu’il l’avait suffisamment préparée et qu’elle était désormais prête à l’accueillir, mais quand elle a découvert l’énormité qui pendait entre ses cuisses, ses yeux se sont agrandis de terreur et le souffle lui a manqué.

Elle pensait qu’un engin pareil ne pouvait pas exister, et surtout que ça ne pourrait jamais entrer en elle. Son mari avait un jouet d’enfant à comparer, et la première fois, elle l’avait senti passer!

Le jeune marié était au désespoir, lui criait : “Non, pas ça, vous allez la tuer!”

Le jeune type, plein de vigueur, s’installait à nouveau entre les jambes de la jeune mariée, défiant en souriant le marié, le dévisageant d’un air goguenard. Il lui dit quelque chose dans son sabir, et présenta son missile aux portes du paradis.

Bizarrement, il semblait que l’agresseur était plus intéressé par la réaction du mari que par celle de la femme. Il continuait de le dévisager en souriant au lieu de s’occuper de la femelle qu’il comptait violer.

Bien que sa bite ne soit pas totalement rigide, cela ne semblait pas le préoccuper et, saisissant fermement le manche de son outil, il commença à pousser pour franchir le barrage des lèvres qui tentaient de lui résister.

La jeune femme soufflait fort, résistant les yeux fermés, encouragée par son mari mais, peine perdue, d’un coup de rein puissant, le voyou enterra d’un seul coup la moitié de son membre dans la petite chatte blanche.

La jeune femme poussa un hurlement de douleur, et c’est le moment que choisit l’autre jeune salopard pour faire sa réapparition dans la chambre, en gueulant comme un putois. Apparemment, les deux autres, plus expérimentés, à la vue du maigre butin, avaient préférés prendre la fuite en laissant en plan les deux jeunes imbéciles.

S’ensuivit une discussion, brève mais animée, entre les deux agresseurs, et c’est semble-t-il celui qui chevauchait la jeune femme qui a eut le dernier mot. Apparemment, il a réussit à convaincre l’autre de se payer sur la bête, c’est à dire de violer la jeune femme avant de foutre le camp.

Il a commencé à limer sa victime, s’enterrant de plus en profond dans la chatte étroite, épiant ses réactions. Au début, c’était douloureux, puis petit à petit, la nature a fait son œuvre, la chatte s’est accoutumée, et le souffle de la jeune femme s’est intensifié, apportant quelques gémissements qui n’étaient pas tous causés par la douleur.

Son pénis était tellement différent de celui de son mari, tellement plus long, tellement plus gros. Et puis celui-là ne portait pas de préservatif lubrifié, et le contact sur les parois du vagin était totalement différent!

Quand cette énorme queue coulissait entre ses chairs, le contact peau contre peau envoyait des petites décharges électriques dans ses terminaisons nerveuses, et la jeune femme replia sans pudeur sa jambe libre pour faciliter la pénétration.

Elle a tourné la tête vers son mari pour voir si celui-ci s’apercevait de son abandon, mais le pauvre homme avait bien d’autres chats à fouetter. Le deuxième voyou avait lui aussi ôté son pantalon, et se masturbait tranquillement sous le nez du mari, très près de sa bouche, et son mari se tortillait, inquiet, se demandant si ce type n’était pas homosexuel.

Tranquille de ce côté-là, elle s’installa aussi confortablement que possible en essayant de tirer profit de l’assaut qu’elle subissait. Le gaillard la limait fort, il était grand et vigoureux, le lit tremblait sous ses coups de reins puissants, et les soupirs de la jeune femme se mêlaient aux grincements du sommier.

À ses côtés, le jeune mari que le second cambrioleur avait laissé tranquille, se mettait à pleurer en entendant sa jeune épouse céder à la convoitise. Elle aurait aimé tendre sa main pour Bahçeşehir Escort Bayan consoler son mari, le presser contre elle pour lui signifier son amour, que ça ne changerait rien à leur union, qu’elle l’aimait, même si elle appréciait beaucoup ce que ce salopard lui faisait subir.

Mais elle ne pouvait pas, ses mains étaient attachées au-dessus de sa tête.

Mais en même temps, le puissant assaut du violeur commençait à produire son effet, alors elle a levé plus haut sa jambe libre, posant son pied sur les fesses de l’homme pour l’encourager à plus de vigueur, en oscillant du bassin pour accentuer les coups qu’elle recevait.

Oh, oui, c’était mieux. Bien mieux même, en accélérant sa cadence il pouvait mieux la pénétrer, et pour elle aussi c’était meilleur, car à présent sa chatte tourmentée était sollicitée sur toute sa profondeur. Le mari ne pouvait que constater les dégâts, sa jeune épouse se faisait prendre sous ses yeux comme une salope, baisée par un sauvage au sexe énorme.

Elle devenait plus bruyante aussi, ses gémissements couvraient les grincements du sommier, le jeune étalon la baisait si fort et si profond que le mari comprenait qu’elle appréciait ce qu’elle subissait. Mais la vérité était plus complexe.

La jeune femme avait cessé de s’inquiéter de ce que pensait son mari, l’esprit totalement accaparé par les sensations nouvelles que lui procurait cette bite surdimensionnée qui la prenait à cru. Elle appréciait le moment, pensant pouvoir lui expliquer plus tard qu’elle avait simulé pour abréger l’agression.

Alors que se formait dans ses reins une houle annonciatrice d’un orgasme ravageur, le sauvage commença à ralentir, sa queue se gonfla encore plus et cracha ses jets de sperme fécond au fond de l’utérus fertile de la jeune anglaise.

Elle était à la fois inquiète d’être imprégnée, et en même temps frustrée de ne pas avoir eu le temps d’exulter. Si cet imbécile avait pris le temps de la préparer correctement au début, elle aurait probablement eu la possibilité d’éprouver une jouissance complète, mais là c’était le fiasco complet.

Pourtant, elle pouvait le sentir palpiter encore en elle, tellement présent qu’elle essayait de redémarrer la machine en ondulant des hanches, en frottant son ventre contre le sien, en utilisant son périnée comme une pompe aspirante pour tenter de le sucer.

Impressionné par le désir qu’exprimait ouvertement la jeune anglaise, il est resté en elle un peu plus longtemps, comme s’il comptait la baiser deux fois de suite. Il bougeait ses hanches, mais son pénis mollissait, maintenant qu’il s’était vidé les bourses, il prenait conscience du danger qu’il y avait à trop traîner sur les lieux de son forfait. Mais même avec son pénis en détumescence, il restait beaucoup plus envahissant que le jeune mari.

Pendant qu’il se retirait d’elle, l’autre homme se présentait déjà, la bite à la main, prête à servir. Ils se sont parlés dans leur dialecte et ils ont ri. Impossible de savoir de qui ou de quoi ils se moquaient, car leur regard allait de la chatte explosée et dégoulinante de foutre de la jeune mariée, au kiki tout riquiqui du mari dépité et jaloux.

Le deuxième vaurien détacha la seconde jambe de la jeune mariée avant de s’installer entre ses cuisses ouvertes. Il avait parfaitement assimilé le manège de la jeune anglaise si docile, et pensait qu’il s’amuserait davantage en la libérant.

Le premier homme s’installa sur le pas de la porte pour surveiller les alentours en cas de danger, mais ne quittait presque pas des yeux son complice en train de se mettre en position pour baiser la femme blanche. Son regard en disait long sur son désir de remettre le couvert, et baiser encore une fois cette petite salope blanche si bandante.

Le deuxième était équipé d’un sexe encore plus monstrueux que le premier. Pas plus long, mais encore plus épais. Aussi gros que l’avant-bras de la jeune anglaise, dira-t-elle plus tard à la police qui l’interrogeait. Le jeune mari a vu l’impressionnant engin se balancer à l’horizontale et il a murmuré pour lui-même:

“Mon Dieu, il va la déchirer avec ça.”

En sentant le gland turgescent se présenter à l’orée de sa chatte gonflée de désir, la jeune mariée a replié ses jambes en les écartant aux maximum pour faciliter l’introduction. Contrairement à ce qui s’était passé pour le premier, elle n’avait plus aucune volonté de résistance, elle ne voulait que prolonger les sensations ressenties avec le premier qui lui avait défoncé sa petite chatte toute neuve.

Le fumier prenait son temps, dévisageant d’un air narquois le mari, juste à côté, qui regardait la petite chatte blanche de sa femme se faire distendre par un énorme braquemart noir. Le pauvre mari a refermé ses yeux pleins de larmes en entendant sa femme gémir et haleter pendant l’introduction du mandrin dans sa craquette.

Heureusement, le passage du premier violeur avait laissé beaucoup de foutre et de mouille mêlées, lubrifiant le vagin, parce que le deuxième était Bahçeşehir Escort encore plus gros, à la limite du supportable pour la jeune anglaise. Beaucoup plus épais, ce pénis lui procurait des sensations multiples. Tellement à l’étroit, il drainait les parois de la vulve derrière lui.

Il mettait beaucoup d’énergie pour forer la jeune mariée haletante, gémissante et geignante, sous la force de ses coups profonds. Il était en train de lui couper le souffle et le mari, convaincu qu’elle appréciait en s’offrant, s’était remis à sangloter. On peut supposer que le fait d’avoir entouré les reins du violeur avec ses jambes et d’onduler du bassin comme elle le faisait, donnait un indice au mari sur ce qu’elle pouvait ressentir.

Pour être honnête, encore une fois, elle avait oublié la présence du mari à ses côtés, et se concentrait sur les émotions que lui procurait ce jeune étalon plein de vigueur. Elle espérait seulement que celui-ci durerait assez longtemps pour pouvoir jouir enfin.

Et c’est arrivé. Une lame de fond, si dure, si intense. Quelque chose qui balaye tout sur son passage. Elle n’a pas pu retenir ses cris de joie. Elle a bloqué avec ses jambes le mouvement de va-et-vient de l’homme allongé sur elle. Elle l’a retenu au fond de son puits d’amour, frissonnante de plaisir. Son violeur a relevé la tête pour la dévisager, a sourit, puis a posé sa bouche sur la sienne. Ils ont échangé un long baiser passionné, un baiser d’amour.

Le mari a recommencé à geindre. En plein désespoir. Impossible maintenant de le convaincre qu’elle avait simulé. Il savait. Elle avait éprouvé sa première jouissance, une intense jouissance dans les bras de cet homme noir.

Mieux encore, ils recommençaient. Leurs bouches soudées dans un long et profond baiser à quelques centimètres de ses yeux exorbités, le couple adultère recommençait leurs ondulations du bassin pour se donner encore plus de plaisir.

Il est possible que ce soit l’orgasme de la jeune femme, ou ce baiser langoureux qu’ils échangeaient, ou même les lamentations du mari, ou l’ensemble des trois, mais le jeune gars n’a pas pu se contenir.

Il avait entamé une ascension irréversible. Après plusieurs coups de rein saccadés, durs et profonds, chacun faisant exulter la jeune femme, il s’est libéré dans le conduit étroit et fertile de la jeune épouse. Tellement énergique, tellement abondant, tellement sensuel. Quelques coups supplémentaires, et elle aurait pu orgasmer une seconde fois.

Alors, frustrée, elle a frotté son pubis contre le pubis du jeune homme. Surpris, il recommença à pomper, sa queue étant encore assez raide pour l’émouvoir. Il se pencha sur elle en lui tendant sa langue qu’elle se mit aussitôt à sucer passionnément. De nouveau, le mari recommença à sangloter en voyant sa femme séduite par cette crapule.

Il n’est pas redevenu vraiment dur. Le moment était passé. Pas de sentiment. Il avait baisé la petite anglaise. Elle avait joui. Très bien. Mais pas de romantisme, il n’était pas là pour ça. En plus, les trépignements de son complice, sur le pas de la porte, lui rappelaient que c’était dangereux de traîner ici.

Quand il est sorti de la chatte blanche, il y avait beaucoup de dégâts sur le drap. Et cette salope gardait ses jambes grandes ouvertes. Sa chatte aussi était grande ouverte. Le sperme dégueulait à gros bouillon. Elle l’invitait à revenir, à la baiser encore, elle en voulait plus de cette bite sombre.

Elle avait aimé la taille, la puissance, les sensations, elle était marquée. Quand une petite femme blanche goûte à la grosse bite noire, elle ne peut plus s’en passer. Elle le regardait ranger sa bite dans son pantalon, et lui il surveillait son regard. Il savait. Il a souri en voyant son regard de dépit quand la grosse bite a disparu de sa vue.

Puis, en jetant un regard au mari, il a saisi les clés du véhicule de location et s’est enfui en riant. La jeune épouse se demandait pourquoi il riait en regardant son mari. Elle restait allongée, les jambes écartées, la chatte ouverte, dégueulant des flots de sperme. Allons, plus personne pour la finir?

Au bout de quelques minutes, certaine que le calme qui régnait indiquait que la troupe était partie, elle a refermé ses jambes et s’est soulevée pour regarder son mari. Il ne la regardait pas, il fixait le plafond.

Puis elle a vu, à côté de la queue ratatinée du mari, une tache de sperme qui s’étalait sur son ventre et qui coulait le long de sa hanche, tachant le drap. Voilà ce qui avait amusé le jeune noir et l’avait fait rire. Voir sa femme se faire baiser par de jeunes violeurs noirs lui avait procuré une jouissance.

Sans les mains, sans rien, juste de la voir prise et crier comme une salope, et il avait joui! Sa petite verge toute ratatinée avait joui de voir sa femme prise par d’autres sous ses yeux. Voilà qui ouvrait des perspectives intéressantes!

En tous les cas, pour cette fois, fini la crainte des reproches. Je me suis fait baiser, j’ai bien joui, merci, mais toi aussi!

Pendant qu’elle le regardait, sa queue si petite semblait encore rapetisser, et il ne croisait pas son regard.

À force de gigoter, elle a réussi à défaire ses liens, et s’est dirigée vers la porte pour se renseigner. Un flot de sperme a commencé à s’échapper hors d’elle et elle a dû placer sa main dessous pour le contenir. Oui, ils étaient partis.

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