Bonne collaboration

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Bonne collaborationJe travaille dans une société répartie en plusieurs établissements, je suis chargé d’aider les responsables sur différents dossiers. J’étais missionné sur un nouvel établissement où avait été nommée une nouvelle directrice, Sonia.Elle était châtain, les cheveux lui arrivant en dessous des épaules. Elle avait de grands yeux bleus clairs. Un jolie et bon cul bien rond. Et j’imaginais sous ses hauts qu’elle portait, de jolis petits seins ronds et fermes comme des petites pommes. Elle était assez féminine, léger maquillage discret et ongles manucurés, mais malheureusement elle s’habillait toujours en jean et des hauts bien fermé qui ne laissaient rien entrevoir. Je lui trouvais un certain charme. Mais elle gardait ses distances et restait très professionnelle. Elle était assez stressée face aux taches qui se présentaient à elle. Ma mission se déroula très bien et nous formions une bonne équipe. Nous avions débrouillé un certain nombre de dossiers et j’étais appelé sur un autre site.Peu de temps après mon départ, elle m’appela pour me remercier de notre collaboration et elle en profita pour me demander encore quelques éléments et savoir si je pouvais passer pour tout clôturer. J’acceptais et je lui proposais de venir en fin de matinée et de déjeuner ensemble à la suite de notre entrevue. Le rendez-vous était fixé.Le lendemain j’arrivais dans son établissement. Une personne de l’accueil m’accompagna à son bureau où Sonia me reçu avec un grand sourire. Elle était montée sur de fins escarpins et portait une jolie petite robe courte. Wahou ! Quel changement ! Quel accueil ! Elle se leva pour me saluer en me faisant la bise, posant ses lèvres très proches des miennes, et continua pour fermer son bureau.Elle se retourna et me dit « Je voulais te remercier », elle s’approcha de moi, ajouta « nous avons été très boulot / boulot » et elle se bahis firmaları colla conte moi, en se glissant dans mon cou pour me caresser de ses lèvres. Elle continua, « saches que tu ne m’as pas laissé indifférente » et je sentis sa mains se poser sur mon pantalon et caresser mon sexe au travers. Aussitôt je bandais. Elle le sentit et accentua sa pression dessus. Elle m’embrassait. « J’ai envie de toi, tout de suite » me dit-elle. Et elle déboutonna mon pantalon et se saisit de mon membre. Elle prit un préservatif qu’elle avait caché dans les affaires sur son bureau et me le tendit, « enfiles le !». Je mis la capote. Elle remonta sa robe, ce qui découvrit ses bas, et enleva son tanga. Me tournant le dos elle prit appui sur son bureau en se cambrant. Je lui caressais les fesses et glissais mes doigts sur son sexe déjà tout humide. « Prends-moi » me dit-elle. Je me mis derrière elle et me colla contre ses fesses, mon sexe entre ses cuisses, elle le guida en elle, en gémissant. J’ondulais doucement contre elle. « Fais vite ! Nous n’avons pas trop de temps » me fit-elle. J’accélérais et fis de plus grand vas et viens. Elle gémit encore plus, plaquant ses mains sur sa bouche pour atténuer le bruit. Elle ondulait ses hanches, montant et descendant sur ma queue. Entre deux coups de reins elle me redit « dépêches toi ! ». Je tapais contre ses fesses. Je fis glisser la fermeture éclaire de sa robe et l’écartais. Je dégrafais son soutif et je passais mes mains dessous pour prendre ses seins. Ils étaient durs et ses tétons pointaient d’excitation. J’allais et venais en elle fort. Je sentais sa mouille sur mes cuisses. Je déchargeais en elle dans la capote. Je me crispais contre elle, ses seins dans mes mains. Je m’affalais contre son dos sur le bureau.C’était le calme après la tempête. Et soudain nous entendions frapper à la porte et une toute petite kaçak iddaa voix qui demandait si tout allait bien. Je me retirais de Sonia et remontais la fermeture de sa robe sans rattacher son soutien gorge. Elle redescendit sa robe. Je remontais mon boxer et mon pantalon sans quitter la capote. Nous nous ajustâmes en nous regardant et Sonia alla ouvrir la porte. Et je la vis jouer une extraordinaire comédie, prenant l’air le plus interrogateur, faisant abstraction de sa coupe de cheveux un peu soufflée, de sa robe froissée et des plis étranges formés par ses sous-vêtements, en déclarant que tout allait bien et que nous allions déjeuner. Elle attrapa son manteau et me fit signe de la suivre. Je lui emboitais le pas en marchant surement un peu bizarrement, sentant le préservatif remplit dans mon boxer.Nous prîmes sa voiture et elle conduisit quelques minutes sans rien dire, avant d’éclater de rire en tapant et criant comme une ado ayant échappée à la vigilance des adultes. Je la regardais en souriant, me demandant quand j’allais pouvoir me débarrasser de cette capote usagée. Elle se gara sur le parking d’un hôtel en disant « allé hop ! à la douche ! ». Elle descendit de voiture, récupéra un sac de voyage dans le coffre et gagna l’hôtel en sortant une clé de chambre de la poche de son manteau. J’allais de surprise en surprise, elle avait tout prévu. Aussitôt dans la chambre, nous nous retrouvions nus sous la douche à nous embrasser et nous caresser. J’allais pour la prendre de nouveau sous la douche, mais elle sortit. Se sécha rapidement. Puis me sécha tout en continuant de caresser mon sexe tout raide, dur et tout dresser. Elle m’entraina dans la chambre, me poussa sur le lit et s’installa à genou entre mes jambes pour s’occuper de mon sexe. Elle le prit entre ses mains et en le maintenant à la verticale, le caressa. Elle se pencha pour l’embrasser. kaçak bahis Posa ses lèvres sur mon gland, inclina la tête sur le côté et glissa tout le long de mon membre jusqu’à mes testicules. Arrivé à leur hauteur, elle les lapa de quelques coups de langue et les fit remonter. Elle en prit une dans sa bouche, la fit rouler entre ses lèvres en jouant avec sa langue et l’aspira. J’en frissonnais. Sa bouche revint sur mon sexe et refit le chemin inverse, jusqu’en haut de mon gland, sur lequel sa langue s’entoura. Puis elle me prit dans sa bouche en me regardant et m’avala. Elle me suça divinement. Je sentais sa langue, ses joues glisser sur mon sexe. Et elle ne me lâchait pas du regard. Elle s’activait sur ma queue, sur mes couilles avec sa bouche, ses lèvres, sa langue, ses doigts. J’étais tendu à l’extrême. Prêt à exploser. Elle releva la tête et me murmura « tu vas jouir dans ma bouche ». Et elle replongea sur mon sexe, reprenant sa fellation. Elle me pompa comme une gourmande affamée. Glissant ma bite de plus en plus loin dans sa bouche, au fond de sa gorge. Je gémissais. J’essayais de me retenir pour faire durer le plus possible ce moment sublime. Elle avait glissé une main entre ses cuisses et se caressait. J’explosais dans sa bouche. Mon sexe tressautait entre ses lèvres, envoyant de bonnes giclées dans sa bouche. Et elle continuait de me pomper, de me sucer, faisant glisser mon foutre entre ses lèvres et ma verge. Elle continuait de m’astiquer, de m’avaler. Mon sperme dégoulinant de sa bouche, sur mon ventre, sur mes couilles. Elle continuait de tirer sur ma queue et se fouillait la chatte de plus en plus vite. En même temps que j’éjaculais elle tressautait de plaisir. Elle s’écroula, la tête sur mon ventre, ma queue entre les lèvres laissant retomber doucement la jouissance qui nous avait élevé à des hauteurs inimaginables. Nous sommes restés dans cette position et endormis. Plus tard nous nous sommes réveillés et de nouveau nous avons baisé dans tous les sens tout l’après-midi. Et d’autres après-midi encore. Une nouvelle collaboration s’était installée.

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