La chercheuse ( sixième partie )

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Ahegao

La chercheuse ( sixième partie )La bibliothèqueElle franchirent une porte donnant sur une tours et Judith fut émerveiller par ce quelle vit. Celle-ci était ouverte sur les trois étage et les murs étaient couvert d’étagères débordant d’ouvrages. Elle se trouvait sur une des deux galerie qui en faisait le tour, elle était au deuxième au centre de la tour. Un escalier descendait un autre montait au troisième. Des échelle sur roulette a chaque étages permettait d’atteindre les ouvrages les plus haut. En bas il y avait une grande table de lectures, ronde aussi, entourer de fauteuils rembourrer. Ici aucune fenêtres, pour que le soleil n’abime pas les codex, les manuscrit ou les parchemins. De grands cierge sur pieds éclairait la tour mais loin des ouvrages et ils était déjà allumé.Judith était une passionner de bibliothèque et marchait faisant le tour en regardant émerveiller tout la somme de connaissance que recelait cette endroit. Odile la suivait en buvant heureuse de la voir s’extasier sur sa collection dont elle était si fier, lui parlant de tel ou tel ouvrage, de quelle manière elle l’avait acquise; Du codex tongarès, sur les herbes médicinal en latin, du codex Calixdonastus, sur l’ingénérie en arabe, du codex theodro akas, sur l’anatomie humaine en latin, etc, plus différent parchemins traitant de nécromancie, d’alchimie, de religion et d’art et de lettres.Rare était les occasions pour Odile de pouvoir partager sa passion et cela la rendait heureuse.Puis elle descendirent.Pendant qu’Odile déposait la bouteille sur la table ou de jolies lampes de lecture rosé étaient allumé, Judith subjuguer par ce quelle avait sous les yeux allait et venait éxiter comme une gamine. Elle grimpait a une échelle en redescendait, allait plus loin, remontait… C’était une très belle collection mais mineur comparer a celle de certain monastère ou d’autre quelle avait visiter un peut partout en occident mais surtout en Allemagne et en Italie. Plus de la moittier de ce qu’il y avait ici était des copies et même des copies de copies mais cela n’avait guerre d’importance. C’est le savoir qu’il y avait sur tout ses pages qui était important. Et parfois, dans des collections priver comme celle la on pouvait découvrir de petites perles qui souvent, était dans la famille de génération en génération.Odile elle, bien assise a même la table a coté du codex quelle venait d’acheter, buvait jambe croiser tout en admirant le corps souple et svelte de Judith qui allait et venait trainant l’échelle avec elle! Elle ne se laissait pas de la regarder se promener toute éxiter, de sortir des ouvrages avec précaution de les admirer voyant, en surveillant ses lèvres, quelle lisait parfaitement le Grec, le latin et bien d’autre langue et même l’arabe.Odile se débrouillait bien avec le latin et le grec mais pour les autres langue elle devait faire venir un traducteur. Un érudit de Paris, gros, laid et répugnant a qui elle se donnait juste pour être certaine qu’il gardait le secret sur certain ouvrage délicats, en plus de le payer grassement.Judith était a quatre patte maintenant, le cul en l’air et le nez plonger dans un petit codex Allemand qui traitait de la vie a Rome a l’époque de Jésus. Odile en eu des chaleur a voir ses jolie petite couilles.Malgré cette vision sublime elle n’arrivait pas a l’imaginer jeune en garçon, sa la fit sourire et soupirer. On la disait bien plus érudits que la plus part des hommes qui pratiquait le même métier quelles et maintenant elle savait que cela devait être vrai. Cette fille la était unique a bien des égard et célèbres et elle est avec moi, ici, nue et pour la nuit. Odile s’enorgueillit a cette idée en savourant son vin. Elle savait que Judith avait refuser bien des invitations, offusquant bien des gens de la haute sur tout le continent, c’était une femme fier, indépendante et mystérieuse. Des tas d’histoires courrait sur son conte; Elle se serait battue en duel plus d’une fois contre des hommes quelle auraient vaincue au fleuret ou a l’épée. En tout cas, se dit Odile qui n’y croyait guer, elle ne porte pas de cicatrices. Elle aurait échapper a la pendaison de justesses grâce a la protection d’un évêque important des pays bas. On l’aurais accusé du meurtre d’un puisant marchand Hollandais mais, toute cette histoire aurais été étouffé. Elle aurais même ses entré au Vatican auprès du St-père et de leur fameuse bibliothèque, la plus importante d’occident. Certain prétendait même quelle allait jusqu’à faire des vols audacieux pour ce procurer ce quelles recherchait. Quelle avait voyager dans tout les pays de l’orient a l’occident et qu’il lui était interdit de remettre les pieds en Espagne a cause d’une histoire d’orgie scabreuse. Judith la regarda, de nouveau grimper a l’échelle et lui sourit en disant.-Pardonne moi Odile, j’arrive!Odile sourit en la regardant redescendre pour la rejoindre puis s’assoir près d’elle sur la table et se reprendre du vin.-C’est une superbe collection Odile! Je n’ai rien abimer, rassure toi!-Oui et j’en suis fier! Malheureusement mon fils ne s’intéresse guerre a cela. Au fait, combien de langue lit tu!-Une dizaine environs! J’ai de la facilité avec les langues.-Oh!Et juste pour lire?-Non! Les parler aussi!-Et ses tout!-Non! Fit Judith arborant un sourire malicieux. Je sais faire beaucoup de chose avec ma langue.-Oh! Tu vas me montrer sa ici, tout a l’heure! N’oublie pas se que tu m’as murmurer a l’oreille sur la passerelle.-Je n’ai pas oublier!-Et ou as tu apprit tout se que tu sait et toutes ses aventures que l’on te prêtre, les duel, les orgie, les vols et j’en passe, y as du vrai la dedans? En tout cas ton corps ne porte pas de cicatrice!La Judith éclata de rire, les yeux presque fermer. Si belle, et dit.-Tout est vrai bien sur, Odile.. Voyons! Regarde , dit-elle pointant un doigt près de son mamelon droit.Odile se pencha et vit une petit maque ronde plus blanche que le reste de sa peau. Puis Judith souleva le seins et il y avait une marque identique en dessous.-Un floret me la transpercer de par en par pendant un duel en Italie!-Ouuh! Fit Odile en grimaçant! Ca… sa du faire mal!-Oui, mais pas autant que la douleur qu’as ressentit le jeune prétentieux contre qui je me battait quand je lui et transpercer le foie. Regarde la…Elle montrait l’intérieur de sa cuisses gauche près des couilles, une autre marque a peine visible. Un carreaux d’arbalette, j’en ai une autre dans le dos. Des brigands qui on voulue me dévaliser, il l’on regretter croix moi. Une dague ma transpercer la main ici, et la, fracture du tibias, ça sa fait mal, plus un bras cassé, une cheville, sans parler de mes cotes, de anadolu yakası escort mon nez cassé plus d’une fois et j’en passe…-Et ton garde du corps, fit Odile décourager, il dormait quant on ta fait tout sa…La elle se rembrunit, décidément se dit Odile, le cocher est un sujet délicat a aborder avec elle.-Il ne l’était pas encore! Dit-elle songeuse. Odile devina que quelque chose de puissant les unissait ses deux la. Amour et haine pensa t-elle.-Et ton érudition! Vient pas me dire que toi, tu as été chez les soeurs pour étudier! Je t’imagine très mal en novice et surtout ne pas te jeter sur de jolie sœurette une fois le grand méchant loup entré dans le poulailler!Judith rit encore et dit amuser en essuyant des larmes au coin de ses yeux brillant.-On ma traiter de bien des choses Odile mais de grand méchant loup sa… Mais il est vrai qu’il m’aurais été difficile de me retenir en voyant de jeune sœur a quatre patte laver un plancher ou se baigner! -Bon, alors, qui ta enseigner?-Pas les sœur mais les moines, en me faisant passé pour un garçon pour y étudier! Je n’avait pas encore 17 ans, je venait de perdre mes parents dans un incendie sa été très dur, je n’avait plus de famille et pas de marie évidemment! Juste la forge que j’ai vendue pour partir de se village qui m’étouffait Mais des moines y venaient pour y vendre leur produits, du vin et du fromage et de la bière et des légumes. Deux garçon du village avait été placer la bas pour apprendre les lettres et cela m’attirait, je voulait apprendre aussi. Alors naïvement je suis aller frapper a la porte du monastère dans les montagnes pour leur demander de me prendre pour étudier, que je ne rechignait pas au travail etc… Évidemment ils mon fermer la porte au nez en disant qu’aucune femme n’était admise dans l’enceinte de l’abbaye, encore moins une jeune fille. Nullement décourager je suis aller au village le plus proche acheter des ciseaux et des vêtement de garçon et, dans les bois, j’ai couper mes cheveux qui était devenue long comme aujourd’hui, écraser mes seins a nouveau sous des bandelettes et une fois habiller en garçon et j’y suis retourner l’après-midi même me présentant comme un orphelin qui venait de perdre ses parents, ce qui était vrai après tout, et il m’ont accepter tout de suite comme novice. Je redoutait qu’il y est une salle commune pour les bain mais ce n’était pas le cas. Chacun pratiquait ses ablutions dans une petite pièce seul, même si on dormait a deux par cellule c’était toujours habiller jusqu’au coup. Et je partageait la mienne avec un vieux moine et je me suis arranger pour ne jamais me faire punir. C’est a dire devoir se mettre nue devant les autres pour être flagellé. Comme je pissait debout parfois devant les autres au champ ou au verger comme tout le monde sans cacher ma bite alors tout allait bien. J’étais doux et obéissant, même le préférer du moine Sadius qui s’occupait des novices qui ne cessait de vanter mes talents de travailleur et mon intelligence vive et surtout, mon obéissance. La première année j’ai travailler un peut partout, au champ, a la fromagerie, a la brasserie tout en étudiant le latin. J’apprenais rapidement, plus que les autres novices parce que j’aimais cela plus que tout, je découvrais un monde fabuleux mais c’était surtout parce qu’il y avait un scriptorium complètement interdit d’accès sauf au 50 moines qui y œuvraient et quelques novices qui vivait au monastère depuis fort longtemps que je travaillait aussi fort. Mon protecteur Sadius était ce ceux la et m’en parlait, me décrivait certain ouvrage il me mettait l’eau a la bouche en me répétant a chaque fois que je lui demandait pour y travailler avec lui; Dans 5 ans, quant tu auras terminer ton éducation, alors la on verras! 5 ans, je ne pouvais attendre si longtemps, j’étais donc bien décider a faire n’importe quoi pour pénétrer dans le saint des saints.Je savait que j’avais un visage de fille avec un jolie sourie et de beau grand yeux et que plusieurs moines étaient troubler en ma présence. Je n’était pas le seul novice a avoir l’air efféminer et je savait bien que certains faisaient des choses entre eux que je ne pouvait qu’imaginer car a l’époque, cela m’était inconnue, avec un garçon je veut dire, j’avais fait l’amour avec quelques filles et ses tout. Mais je voulait tant en connaître plus et visiter se mystérieux scriptorium que j’ai décider sur un coup de tête de séduire mon protecteur.Judith se tue pour reprendre du vin, Odile soupira tellement elle avait hâte d’entendre la suite.-Alors, sa marcher j’imagine, on sait tous que bien des moines baise entre eux et tu devait être terriblement attirente!Judith prit une longue gorgée puis sourit a Odile qui grimaça d’impatience.-Cela était un jeux dangereux, je me devait d’être prudente, je ne voulait surtout pas être expulser ou pire être mit a nue devant tout le monde pour être punit. Je les imaginaient que trop bien affoler me traitant de sorcière et pour me faire subir ensuite les pires supplices. J’ai toujours eu une imagination débordante.Judith prit a nouveau une longue gorgée très lentement puis s’essuya la bouche du revers de la main.-Cé pas possible, s’emporta Odile en souriant, tu le fait exprès, ses pas bien ça! Judith lui fit son plus beau sourire avant de continuer.-J’ai donc entreprise de le séduire en lui disant qu’il était mon modèle, que plus trad j’aimerais être comme lui, un moine érudit qui enseignerais le savoir. Il en était grandement flatter certes mais sans plus.Décourager J’ai donc commencer a lui faire de jolie yeux, de beau sourire comme une idiote en pâmoison devant une beau grand garçon jouant la carte de la timidité et de la naïveté. Je n’avait jamais fait ça et j’avais peur d’en faire trop, peur qu’il ne se fâche et décide de me traiter de vicieux et de me punir.Les semaines passaient mais je persévérais.Puis un jour j’ai vue ses yeux changer et luire étrangement en regardant mon visage, cela ma redonner espoir et j’ai pousser plus loin mes avances. Mes parent n’était pas croyant, je ne l’était donc pas non plus. Toutes ses messes et ses prières m’ennuyait terriblement mais pour apprendre je m’y faisait. Donc de dépraver un brave moine ne me dérangeait pas du tout et il craqua, enfin, quant un jour lasse d’attendre je lui dit prenant un air des plus humble que je ferait n’importe quoi pour pouvoir l’aider au scriptorium. Il n’as pas réagis, terriblement déçut j’ai décider d’abandonner mais un après midi de novembre la semaine suivante, il ma demander de le suivre dans une réserve dont lui seul avait la clef. Il a barré la ataşehir escort porte derrière nous, l’air était glacial, nos halène fumait. Aussi grande que lui on se fixait les yeux dans les yeux et il ma dit…-Je t’aime bien Paul tu sais… Beaucoup même.J’avais reprise mon nom de garçon, je voyais bien le désir qui le travaillait a son regard fiévreux et la j’ai décider de jouer le tout pour le tout en me jetant contre lui et l’enlaçant la tête sur son épaule en disant…-Moi aussi, je… je vous aime! Pitiez ne me punissez pas, ne m’expulser pas, je saurez cacher cela et m’en délivrer si vous n’avez pas les même sentiment pour moi pitiez! A ce moment j’avais une peur bleu, mon cœur cognait a toute allure.Il as hésiter un peut puis enlacer lui aussi et très fort, étrangement j’ai aimer cela, puis il a poser ses grosses main sur mes joues en me disant.-Ton visage est celui d’un ange, il me trouble tant depuis ton arriver, ferais tu tout pour moi?-Oh oui messire l’abbé, demander moi ce que vous voudrez, en autant que je soit près de vous!Il passait plus de la moitié de ces journée au scriptorium. Je me suis trouver bonne menteuse et lui ma prouver que les hommes sont a peut près tous pareille en me répondant.-Si cela se sait que nous faisons des choses contre nature…Ses yeux gris-bleu me fixait brulant de désire, sa lèvres inférieur tremblait et il déglutit sans doute aussi nerveux que moi.-Non jamais, ai-je dit, jamais on ne me ferais parler même sous la torture! Être près de vous a chaque heure de la journée, je ne demande rien de plus!Il ma fixer longuement puis ma embrasser a pleine bouche ca, ca ma moins plus! Son halène empestait l’ail et la bière de plus il portait la barbe. Je n,ai jamais aimer les barbue!. Mais j’ai fait semblant que oui en enfonçant ma petite langue dans sa bouche pour jouer avec la sienne. Sa ma quant même fait bander. Puis il a rajouter!-Alors aime moi! En soulevant sa robe et me montrant son gros pénis entourer de poil noir qui gonflait déjà. On m’avait déjà fait des pipes alors j’ai vite comprise ce qu’il voulait surtout avec ses grosses mains qui pesait sur mon épaules. Je me suit mise a genoux pour pratiquer ma première fellation, je lui et agripper la queue lourde d’une main, les gros testicules de l’autre. Sa mas éxiter de sentir une grosses bite bander dure dans ma main, la bite d’un autre ses pas pareil, et je l’ai regarder en lui demandant jouant toujours l’ingénue.-Que voulez vous exactement mon père que je vous masturbe comme ça…Je le crossait a poing fermer décalottant son gros gland en forme de cloche juste sous mon petit nez geler.-Quoi! A t-il dit surprit. On ne te la jamais sucer, tu n’as jamais sucer une bite, les novices se le font entre eux je le sais!-Pas moi, ai-je dit jouant l’ingénue pour, mais comment sucer sa, ses bien trop gros et si sa sort, j’ai gouter mon foutre et ses pas très bon! Mais si ses cela que vous voulez je le ferez et avec plaisir!-Pauvre moine! Lâcha Odile cramper de rire, y devait se morfondre!-Tu parle, il en avait les genoux tout mou et les joues toutes rouge et pas par le froid. Il fixait ma bouche en salivant tandis que je le masturbait la main toujours bien serrer en pressant son scrotum.-Et! Il n’as pas put se retenir! Il as exploser!-Non mais j’ai bien crue qu’il allait s’évanouir tellement il était éxiter, et moi j’en salivait a l’idée de la prendre dans ma bouche et la il as dit.-Prend la dans ta bouche elle n’est pas si grosse et ne serre pas les dents juste les lèvres, suce moi et ne t’inquiète pas je déchargerai pas! Ensuite je te le ferai, tu verras comme ces bons!J’ai gober la bite qui me déformait la bouche croyant que cela allait gouter mauvais mais non. La bouche débordante de salive je l’ai sucer et lécher longuement en suivant ses instruction. Sa ma faite bander dur et j’y et mit du cœur pour qu’il apprécie et ait envie de recommencer jusqu’à ce qu’il la sorte précipitamment en se l’empoignant pour me venir en plein visage en grognant la main sur ma tête. J’ai grimacer dégouter de recevoir autant de foutre si épais en attendant qu’il finisse assise sur mes mollets. Je suis rester la, n’osant ouvrir la bouche, un oeil fermer a sentir le sperme couler sur ma peau. Une fois fini de se la secouer et soulager il a laisser retomber sa robe et ma essuyer le visage avec un linge en disant.-A ton tour mon ange lève toi.Debout, appuyer sur de gros tonneaux j’ai soulever ma robe pendant qu’il s’agenouillait. J’avait légèrement débander mais des qu’il la toucher ma queue a reprise de la vigueur et il suçait bien le bougre et a toute avaler. Pas besoin de te dire Odile que cela ma plu grandement. Âpres on la fait presque tout les jours un peut partout puis il m’as demander de l’enculer a la cave, il c’était déjà graisser le cul. J’ai adorer cela, sentir mon ventre claquer sur ses belle fesses blanche, sentir ma bite a l’étroit dans un endroit si chaud, et venir en lui. Puis il a voulue me le faire, sa ma effrayer mais j’y et consentit, ne voulant rien lui refuser mais n’as pas put, il l’avait trop grosses et ne voulait pas me blessé. Ouf! Pendant des semaines il m’avouait son amour tandis que je lui passait ses fantasmes. J’ai apprit avec lui a avaler sans s’étouffer, la première fois se ne fut guerre glorieux mais on s’y fait et, un bon matin…J’ai été affecter au fameux scriptorium finalement qui jusque la m’était interdit pour l’assister. L’endroit, fort vaste éclairer par d’immense vitraux, contenait des lampes à huile auto alimentées, un cadran solaire, une horloge à eau ainsi que les instruments nécessaires à l’écriture comme des plumes, calames, encriers ou des grattoirs. Des que j’ai sentit l’odeur de l’encre fraiche, du papier et vue les ouvrages sur lesquelles il travaillait j’ai sut que ces ce que je voulait faire dans la vie. Être moine copiste! Mais c’était un peut naif de ma part tu ne trouve pas Odile?-Sa oui, mais tu était jeune et je devine ce qui est arriver! Tes seins!-Évidemment! Bref, ces la que j’ai pris goût au ouvrages en travaillant a préparer de l’encre ou des couleurs, aiguiser des plume etc… Plus tard je colorais des texte et des images avec mon protéger et j’avais du talent pour sa, tout en continuant a m’instruire et a lui faire plaisir. Je voulais connaître les secrets de ses livres qui me fascinait tant. J’y suis rester deux ans avant que l’un deux voit mes seins, un autre novice très séduisant qui me tournait autour discrètement, lui aussi travaillait au scriptorium. Il prétendait être follement amoureux de moi et il l’était vraiment.Ailleurs qu’au monastère j’aurais ümraniye escort accepter ses avances sans rechigner, plutôt deux fois qu’une. Il était lui aussi mignon comme tout, un peut efféminer, mais la je ne le pouvait pas a cause de mon moine fort jaloux. Je voyait bien qu’il c’était rendu conte que ce novice me tournait autour. Je faisait tout pour le décourager mais il n’y avait rien a faire, ses beau yeux sombre brillaient chaque fois qu’il m’apercevait. Il m’écrivait même de magnifique mots d’amour qu’il me remettait discrètement a la messe matinal, s’arrangeant toujours pour être près de moi et sa me séduisait. Pour rien au monde je ne voulais que quelque chose m’empêche de travailler au scriptorium mais, être l’objet de tant d’attention, de gentillesse et d’amour ne pouvait me laisser indifférente. A chaque jour je résistait de moins en moins lisant de nuit a la chandelle ses petit mots si bien tourner. Je me suis mise a rêver de son corps, de nous nue sous le soleil ou dans son lit. Je tombais amoureuse peut a peut et cela me tiraillait mais chaque fois que j’entrais dans le scriptorium cela raffermissait ma volonté de lui résister.Mais mon jeune amoureux insistait, ne demandait pas mieux que de m’attirer dans un de ses endroit discret du monastère même si il n’y arrivait pas. Je le repoussait mais sans y mettre autant de vigueur que j’aurais voulue, ma volonté faiblissait et il savait qu’il me plaisait bien. Et, par un bel un après midi ensoleiller, derrière un bâtiment je l’ai laisser m’embrasser longuement, c’était si bon comparer a la grosses bouche de mon moine que j’ai bander dur, sa soulevait ma robe de bure et, j’ai paniquer et me suis enfuie les larmes au yeux. Il as du penser que ses la peur d’être surprit qui ma fait agir ainsi alors une nuit, n’en pouvant plus, il ses faufiler dans la cellule que je partageait avec ce vieux moine presque sourd mais qui ronflait atrocement; je croyait faire un doux rêve sentant un corps chaud agenouiller sur mes cuisses, des mains fureteuse parcourant mon corps, une bouche douce et humide me couvrir de baisé, mes couilles surtout et mon pénis en érection, bien caresser et sucer ou que je sentais frotter contre un autre sexe aussi dur que le mien. Je me languissait nue dans mon lit les yeux clos dormant toujours, sentant une main plaquer sur ma bouche, une autre sur mon ventre, et soudain, un cris. Sa ma réveiller en catastrophe le cœur battant a toute allure clignant des yeux essayant de comprendre ce qui arrivait. J’étais sur le dos et effectivement nue, seins a l’air avec le jeune novice agenouiller sur moi les yeux rond, la mâchoire décrocher, une main sur ma bouche parce que, ironiquement, je devait trop gémir dans mon sommeil et qu’il devait avoir peur que le vieux moine ne s’éveille. Il était nue aussi et bander dur nos bite se touchaient et il fixait mes seins qu’ils avait découvert la mains encore sur les bandelettes qu’il venait de soulever sans doute très curieux de savoir pourquoi je portait sa. Le bougre m’avait déshabiller complètement pendant mon sommeille sans m’éveiller. Voir ma poitrine large l’avait fait crier de surprise. Tout cela aurais put très bien se terminer si il n’y avait eu le vieux moine dans le lit juste a côté. J’ai tourner la tête pour voir et lui aussi avait été réveiller par le cri malgré sa surdité et il fixait mes seins et nos corps nue et nos bites avec la même expression qu’il aurait sans doute eu en voyant le diable en personne enculer un évêque. Furieuse parce qu’il venait de gacher tout mes efforts, j’ai giflé le pauvre novice si fort qu’il en est tomber du lit, mais le mal était fait. Le vieux moine a crier fort a son tour, puis ses lever et est sortit pour avertir sans doute le moine dirigeant criant au diable dans la place, réveillant tout le monde en frappant dans les portes. Le jeune ses enfuie tout nu, paniquer et des moines sont apparue, endormit et me regardait suffoquer les mains croiser sur mes seins et toujours bandé. J’ai comprise que je devait filer et vite a cause de se petit con! Si on me prenait je savais que la punition serait d’être des plus douloureuse. Je risquait d’être fouetter publiquement pour ensuite être probablement passé au bucher! En tout cas ses ce qui ma traverser l’esprit sur le coup et sa ma donner des ailes et j’ai foncer dans les moines trop surprit pour m’arrêter sans prendre mes habits.J’ai fuit complètement nue dans les couloirs du monastère ou tout le monde sortaient de leur cellule se demandant ce qui se passait et prenait de grand airs horrifier a la vue d’un jeune novice courant a poil avec des gros seins plats qui sursautait violemment et une bite rester dur a cause de ma panique sans doute et ils se signaient ahurit. J’ai déguerpis a toute vitesses en cherchant une sortit possible avec au moins 10 moines a mes trousses hurlant et criant qu’il y avait un démon qui c’était infiltrer parmi eux. Certaine de mourir je me suis fouler une cheville en sautant d’une fenêtre sur un toit glissant de neige pour tomber dans les jardins ou j’ai couru le plus vite que je pouvais malgré ma cheville douloureuse me rappelant que dans le verger il y avait une sortit possible. Un gros pommier dont les branche passaient par dessus le mur qui ceinturait l’abbaye. Une fois dans le verger, je me suis arrêter a bout de souffle les larmes au yeux, transit de froid et débander pour me repérer et j’ai vue des torches au loin et qui venait vers moi. Ils n’avait qu’a suivre mes traces dans la neige fraichement tomber. J’ai couru jusqu’au pommier pensant que ma vie en dépendait, j’y et grimper mi écorchant les cuisses, j’ai enjamber le mur et j’ai prit la clef des champs toute nue, en pleine nuit d’hiver et il neigeait a gros flocons! -Et bien! S’exclama Odile en riant! Tu as commencer ta vie d’aventure de belle façon!-Sa tu peut le dire! Mais le plus drôle ces que pour mon travail j’y retourne depuis des années et personne ne ma reconnue. -La encore je ne suis pas surprise! Et ton amoureux transit y est toujours?-Oui, il s’occupe de la brasserie du monastère, il as un gros ventre maintenant et plus de cheveux. Lui non plus ne ma pas reconnue en me faisant visiter fièrement ses installations. Maintenant je sais bien qu’on m’aurais tout simplement fouetter un peut les fesses puis expulser.Odile rit en se claquant dans les mains.-Doux seigneur fit-elle le visage rougie, j’adore t’écouter, ses tellement plus éxitant que ces conversation ennuyeuse qu’on as ici ou au autres domaines. Continue, tu tes promener toute nue en pleine nuit d’hiver et après? On voit bien que tu as survécu!-Je me suis faufiler dans une grange jusqu’au matin bien cacher dans de la paille en grelottant et pleurant, puis j’ai voler des vêtement, j’ai dut voler ma nourriture aussi pendant quelques jours et finalement j’ai trouver du travail dans un cirque de gitans. Un cirque de monstres ou il on soigné ma cheville!—————- a suivre

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