La Soumission d’Isabelle 01

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Je me dirige vers l’appartement de Claire, ma copine de travail. Je me perds dans mes pensées. Je suis triste au fond de moi. Mon mari Laurent est en déplacement professionnel, nos jumelles sont en classe de neige avec l’école.

Je suis triste, cependant je comprends. Il travaille tellement dur pour avoir de l’avancement. Il se donne à fond, cette année, il pense que cette fois ci, c’est la bonne, son chef le lui a dit. Ce n’est pas le moment de refuser ce déplacement.

Je me présente, Isabelle, quarante ans. Je suis brune, cheveux jusqu’aux épaules, un mètre soixante dix, yeux verts, une femme plutôt normale.

Ma copine, Claire est enceinte de quatre mois, un petit ventre rond avec le moral dans les chaussettes. Ces derniers temps, ses hormones la travaillent, elle alterne régulièrement entre phase d’euphorie et de déprime. A midi, elle me téléphone, avec une voix grave.

Elle me dit seulement : – Comme, je sais que ton mari est parti pour son travail, aussi que tes jumelles sont en classe de neige, qu’ainsi tu es toute seule. J’ai besoin d’un service, tu peux venir chez moi ce soir ? Tu feras la connaissance de Julien. Dis pas non, s’il te plaît. Tu connais mon adresse. Avant même d’avoir pu lui répondre quoi que ce soit, elle m’a raccroché au nez. J’ai senti que c’est important pour elle.

Arrivée chez eux, je retrouve la petite Claire, c’est un beau brin de fille, une petite brune aux yeux pétillant. Comme à l’habitué, je pose une main sur son ventre en lui faisant la bise sur les joues. Je lui demande comment ils vont tous les deux. Elle me répond que tout va bien puis me présente à son Julien. Ils sont un peu plus jeunes que moi, mais l’osmose est bien présente.

Nous prenons l’apéritif, avec un Ti punch est assez corsé. Claire descend son jus de raisin d’une seule traite puis s’éclipse. Elle me laisse avec son homme. Il me parle de sa femme qu’il aime plus que tout.
– Ces derniers temps, avec sa grossesse, la vie n’est plus la même. Elle a le moral qui joue aux montagnes russes. Et aussi le petit homme la chamboule aussi parfois, lui donnant des coups de pied, elle aime et ça lui fait mal aussi. Il y a également.
– Doucement Julien. J’ai déjà eu deux enfants, je sais ce que sait. Lui dis-je d’un air blasé.

On rigole, il s’amuse de cette situation, il me comble de remerciements pour l’amitié que je voue à sa femme. Il me confirme que je suis sa meilleure amie, sa confidente. Je ne pensais pas qu’elle m’aimait autant que ça. C’est flatteur, je ne la connais pas si bien que ça et pourtant je reste persuadée qu’elle le mérite grandement.

Claire revient, elle est euphorique, je pense qu’elle s’affairait en cuisine, mais en fait elle était partie se changer. Après un bref échange entre eux, je comprends qu’elle est de nouveau partie dans ses délires. Madame veut aller en boîte avant même d’aller manger. Je m’en amuse, allant de surprise en surprise. Julien semble surpris, limite choquée de sa demande. A plusieurs reprises, il la questionne.
– T’es vraiment sûre de vouloir y aller ? Tous les trois ?

La proposition de sa femme semble le tourmenter.
Ils sont beaux tous les deux, si amoureux l’un de l’autre. Je sais que ça n’a pas toujours été comme ça. Au début de leur mariage, Julien est un peu jaloux. J’ai cru comprendre que la brunette était en couple avec une fille avant lui. Elle ne me l’a jamais vraiment dit, cependant elle me l’a fait comprendre, à sa façon. Du coup, il n’accepta pas qu’elle ait des amis aussi bien masculin que féminin.

Depuis le temps est passé, je dois être sa seule amie.
– T’inquiètes, pas Julien, Isabelle est une grande fille, je suis sûre qu’elle en a vue d’autre. Et même si elle ne connais pas la GROTTE BLEUE, je suis certaine qu’elle va adorer.
– Non, ma Claire, c’est pas raisonnable, tu es enceinte de quatre mois et tu veux aller danser en discothèque avec le bruit, le risque d’être bousculé !
– Isabelle, t’inquiètes pas ma chérie, là-bas, rien de tout cela n’arrivera, demande à Julien, la musique est douce et les gens savent se tenir.

Une demi-heure plus tard, nous sommes dans le vestiaire de la soi disant discothèque. Je ne m’attendais pas à cela, c’est un club très privé. Je ne savais pas ma copine aussi coquine à ce point. On se retrouve nue l’une à côté de l’autre, Claire me tend un peignoir, elle a le même.
– Je ne savais pas que toi et Julien, vous aimiez les clubs libertins.
– Je sais ma chérie, je ne t’ai pas tout dit sur ma vie. J’ai quelques zones d’ombre qu’il m’est difficile de dévoiler comme celle-là. Ce soir c’est l’occasion. Éclate toi si tu veux, où contente toi de regarder. Mais, reste avec Sex hikaye nous, si quelqu’un te demande t’as qu’à refuser poliment, en toute logique la personne s’éclipsera discrètement. C’est la règle ici.
– Je n’ai pas envie de paraître vieux jeux, mais, tu comptes faire quoi ici ? Moi je n’ai mon Laurent et ça me convient très bien, je n’ai pas envie d’autre chose.

– Isabelle, ne stresse pas. Avant ma grossesse, avec Julien, on venait souvent ici. Depuis, on a levé le pied. Parfois c’est, juste pour mater où faire l’amour à côté d’un autre couple, rien de plus. Oui ! J’avoue, il est possible qu’on ait une fois ou deux opéré, quelques mélanges, mais c’est rare. Aujourd’hui, c’est notre anniversaire de mariage, je souhaitais le partager avec toi, mais aussi faire plaisir à mon Julien d’amour. Alors, on va se trouver un petit salon, ainsi tu n’auras qu’à nous regarder, rien de plus.

T’imagines même pas ce que ça me fait de nous savoir épié dans l’intimité. Si t’as envie de te faire plaisir, n’hésites surtout pas, ce sera le meilleur des cadeaux que tu puisses me faire. C’est si excitant de voir une femme se faire plaisir en nous regardant faire l’amour. Avec Laurent vous devriez essayer un jour. Tu verras à quel point ta libido sera décuplée. Moi, rien que d’y penser, ça me fait des frissons partout.

Je suis à peine rassurée. Ceci dit, Claire a un corps de rêve, même dans son état, je pense qu’elle ferait bander la quasi totalité des mecs de l’établissement. Le spectacle devra être des plus esthétique, vues l’homme qui lui sert de mari.
D’une main, je balaye toutes ces vilaines images qui traversent mon esprit. Je suis Claire qui se dirige déjà vers le bar. Tous les trois nous reprenons un cocktail puis direction le salon qui nous est réservé.

L’ambiance est feutrée, il fait chaud, mon regard est scotché à ce grand lit en plein milieu de la pièce, aux miroirs qui recouvrent les murs et le plafond. Julien pose une main sur mon épaule, je sursaute, ça les fait rire. Claire me met une claque sur les fesses et m’indique d’un geste de la tête un sofa sur le côté qui semble n’attendre que moi. Bientôt la pièce est inondée d’une douce musique qu’ils ont choisi par internet juste avant de venir.
Un serveur nu, apporte trois autres cocktails. Il m’en offre un avec un clin d’œil.

Rapidement, Claire se retrouve cuisse écartée, allongée sur le dos et Julien la butine entre ses cuisses. Des soupirs et gémissements emplissent rapidement le petit salon. C’est vrai, Claire a raison, j’ai le ventre en ébullition, une bouffée de chaleur semble m’envahir, j’éprouve une terrible envie d’écarter les cuisses aussi et de laisser ma main s’égarer entre mes cuisses.

Julien semble en forme, il est nu, j’admire la musculature de son dos et son bel engin qui pend entre ses jambe, annonçant de belles vocalises pour la Claire. Quelques instants plus tard, cette dernière est à ses genoux et le suce vigoureusement tout en m’envoyant régulièrement des œillades coquines. Faisant mine d’entrer dans leur jeu, j’écarte les pans de mon peignoir et lui montre ma main s’activant sur mon sexe, les deux doigts insérés dans l’entrée de ma moule. Je ne suis pas aussi prude qu’elle le pense. Es-ce que c’est de les voir ainsi qui me donne de l’envie, car depuis un moment, j’ai l’envie baiser, qui me tenaille.

Elle s’en amuse, elle me fait un clin d’œil avant de se remettre à l’œuvre, pompant vigoureusement le pieu de chair de son amour de mari.
Une bonne heure plus tard, je suis toujours en train de mater ces deux pervers. Ils ne cessent de copuler ensemble, essaye même de m’inviter à venir sur ce lit immense pour batifoler avec eux.

Hors de question ! J’aime trop Laurent pour lui faire ça.
– En fait je n’y vais pas, c’est Claire qui vient à moi. Hors, je ne sais pas pourquoi, je ne résiste pas. Elle m’embrasse la poitrine, je sens les doigts de son homme me caresser le clitoris, j’écarte les jambes pour lui laisser la place pour glisser ses doigts, puis il m’embrasse un sein alors que Claire m’embrasse l’autre, ensuite elle descend en embrassant mon corps, une de mes mains la caresse, l’autre caresse le pieu de Julien, alors qu’elle arrive à m’embrasser le petit bouton. Je commence à sucer cette belle queue, Quand elle quitte mon clitoris pour introduire sa langue dans ma chatte, ses doigts s’emparent de mon cul, comme elle a mis un peu de salive, ils entrent sans problème, Julien quitte ma bouche. Je la laisse faire, sa tête entre mes cuisses. c’est agréable, je ne pensais pas qu’une femme puisse me procurer autant de plaisir. Je succombe, elle me procure mon premier orgasme Sex hikayeleri de la soirée.

A un moment, ils décident de faire un petit tour aux douches, ils me promettent de revenir sous peu pour le deuxième round. Je rigole à l’idée de leur retour pour de nouveau y aller gaiement. Petit à petits je me laisse à divaguer à ce qu’il vient de se passer, à cette découverte si jouissive.

Le rideau s’ouvre, moi je poursuis ma caresse. Claire et Julien doivent être en train de me mater, de savourer mon petit spectacle. – Savoures ma belle, mais cette fois-ci tu n’auras rien. Une fois, mais pas deux.
– Je t’avais bien dit que c’est elle ? Isabelle, la femme de Laurent. Un vrai boulet son mec. Là ! Il attend une augmentation depuis deux ans. Cette fois je l’ai envoyé à l’autre bout du pays et que voit-on ? Sa femme suce un mec pendant que sa gonzesse lui bouffe la chatte. Tout ça, quand monsieur travaille.
– Une vraie salope sa grognasse. Toutes les mêmes. Tu crois qu’elles t’attendent et en fait elles te font cocu.

Horreur, c’est qui ? ! Merde ! Deux voix de mecs et pas du tout celles de Claire et Julien ! Face à moi, deux hommes à poil, se branlant tout en me regardant me doigter, cuisses écartées, les yeux fermés, bercé par la musique douce en attendant mes hôtes.
– Vous êtes qui ? Sortez, c’est un salon privé ici !
– Doucement ma jolie. D’abord t’es toute seule, on est juste rentré pour faire la causette et en plus on se connaît. Je pense qu’on pourrait faire plus ample connaissance.
– M’enfin ! Je…
– Moi c’est Éric ! Je suis le patron de votre mari, vous savez, celui qui bosse dur pendant que sa petite femme s’amuse avec une femme enceinte et son mari.
– Je ne vous permets pas ?

Je me prend une claque de la part du vieux. Éric ayant une petite cinquantaine, l’autre doit bien en avoir vingt de plus. Il est gras et bedonnant alors que le soit-disant Éric à un corps d’athlète et pue le déodorant.
– Doucement grognasse. On parle pas à mon fiston comme ça. S’il te dit que c’est le patron de ton homme, c’est que c’est vrai. Et là, vu ce qu’on voit, je ne pense pas que tu sois en mesure de faire la femme effarouchée.
– Que me voulez-vous ?
– C’est simple non ? Faire de plus ample connaissance. Ça pourrait aider votre mari d’être dans les petits papiers du patron, non ? Papa s’ennuyait chez lui, alors je lui ai dit de venir s’amuser un peu avec moi ici aussi disons que votre présence me ravie.
– Je ne suis pas celle que vous imaginez, enfin, je suis…
– Oh ta gueule ! Tu nous emmerdes. On t’a chopé la main entre les cuisses, donc à présent c’est clair : Soit tu te laisses faire, ainsi on passe un bon moment ensemble, soit les photos que l’on a prises de toi suçant un mec pendant que sa copine est en train de te bouffer la chatte et on entend bien ta petite gueule d’ange faire de belles vocalises. Soit que ses photos finissent sur le bureau de mon garçon et ton mari va faire la gueule. Tu crois qu’il voudra garder une traînée comme toi ? Allez ne fais pas ta pucelle, on va jouer un peu ensemble alors profites d’avoir deux beaux mecs comme nous sous la main.

J’en reste bouche bée. Le vieux vient de me sortir cette tirade sans même sourciller, tout en se branlant. A présent, il est tout près de moi, il semble vouloir me mettre son gros sexe tout violacé dans la bouche. Éric renchéri à la suite de son père.
– Juste une petite soirée pour égayer la triste vie de mon papa, personne n’en saura rien. Tu as deux secondes pour réfléchir. Soit tu suces papa Paul, soit ton chéri aura nos photos lundi. Ça tombe bien, en rentrant de son déplacement, il doit me faire un compte rendu en salle de réunion avec tous ses collègues, t’en connais certains. Ils vont adorer te voir en train de jouir, t’en pense quoi ?

Il m’est impossible de répondre à ça ? Je n’ai pas le choix. J’en rage, aussi, je peine à ouvrir la bouche face à ce sexe immonde. Un gros truc un peu tordu avec un gros gland hideux. La bite est courte, hors le diamètre est impressionnant.

Voyant ma réticence, Éric prend une ceinture de peignoir et s’en sert pour me bander les yeux. Il me prend les poignets, il me les plaque dans le dos tandis que Paul me prend la tête à deux mains et enfonce sa bite dans ma bouche que j’ouvre non sans avoir des hauts de cœur.

Je suçote la bite du vieux tandis que son fiston se plaque à mon dos, il me tripote les seins. Quelques minutes plus tard, je me retrouve les bras attachés à la tête de lit, les cuisses écartées en l’air. Le vieux entre mes cuisses cherche à me pistonner. Je rechigne de plus belle ce qui l’agace, Éric me gifle Ensest hikayeler violemment.

N’arrivant pas à leurs fins, ils finissent par me détacher, j’entends distinctement des personnes circuler dans le couloir. Je me sens bien seule face à ces deux vicieux. Le Paul s’enfonce dans mon puits d’amour. Je crie autant de douleur que de surprise. Je gesticule, je le désarçonne, le gros s’écroule à côté de moi, il pose ses mains sous mes fesses, me soulève vigoureusement. Il me remet en place pour recommencer dans une autre position avec lui.

Éric est à genoux à mes côtés. Il prend ma chevelure dans une main et me tire la tête en arrière tout en se rapprochant de mon oreille.
– Tu vas le regarder et lui dire distinctement et fort : – S’il vous plaît, baisez-moi, je suis votre salope.

Nos regards se croisent, c’est lourd et froid. Je comprends immédiatement qu’il va falloir obéir sans rien dire. Heureusement que Claire n’ait pas très loin. Le cauchemar va bientôt se terminer.
Éric me lâche, il me donne une petite gifle.
– Vas-y ! Maintenant.

Il se relève et va s’asseoir sur le sofa, il se masturbe, il nous regarde. Je suis avachie, les coudes sur le lit, des larmes au visage, sur mes genoux et les cuisses largement écartées, le cul en l’air. Le Paul au regard vicieux tiens sa bite épaisse. Il est tout rouge et prêt à m’embrocher, n’attendant qu’une chose, ma soumission la plus totale.

Claire et Julien vont arriver, ça va changer la donne ? Éric me regarde avec insistance. Je dois y aller où je vais me reprendre une autre baffe.
– Vas-y Paul. Défonces-moi, baises-moi, Ce soir, je suis ta salope.
– Tu n’as pas dit s’il vous plaît. Recommence !

Fait chier ce Éric. S’il n’était pas le patron de Laurent ? Je ne peux pas lui faire ça. Il attend cette promotion depuis si longtemps.
– Ce soir et c’est tout. Après on ne se reverra plus jamais et Laurent aura son augmentation ?
– Jurée ma belle !

J’ai honte. Je baisse la tête. Milles images traversent mon esprit. Laurent, sa chambre d’hôtel, mes filles, ma copine, son mari, ma vie bien rangée. Reprenant ma respiration, je ravale mes larmes et respire à fond, cherchant une once de courage. C’est bientôt fini me dis-je. Je me retourne avec le sourire en prime, je regarde le visage de l’affreux Paul.
– S’il vous plaît, monsieur, baisez-moi ? Ce soir je suis votre salope !

Je sors la tirade sans accroche, d’une seule traite, je ne vois pas le rideau qui vient de s’ouvrir. Je me retourne prestement pour voir le visage ébahi de Claire, une main sur son ventre rond et l’autre sur sa bouche, comme abasourdie de me voir, dans cette situation dès qu’ils ont eu le dos tourné.

Julien, avec un verre de cocktail à la main, me regarde avec un grand sourire. – C’est pour toi ma jolie ! Il pose le verre sur le guéridon et referme le rideau, il tire sa femme en arrière. Je l’entends dire à sa femme, qu’ils s’en vont, que c’est mieux comme ça. Tout se passe très vite et avant même que je puisse ouvrir la bouche, Paul me tire à lui et m’enfonce son gourdin jusqu’à la garde. Immédiatement, mon corps réagit par un râle, suivi d’un mouvement nerveux incontrôlé, mettant ma tête en arrière, ouvrant la bouche et fermant les yeux. Je manque de m’étouffer, quand j’ouvre enfin les yeux, c’est pour voir le rideau retomber sur le visage de ma copine Claire, écœurée par le spectacle que je lui donne.

Je perds tout espoir de secours de sa part. Paul est déjà en train de se retirer pour mieux me pilonner. Éric choisit cet instant pour se relever et me donner sa queue à sucer. C’est un bel engin long et fin avec le même gland rond et gros que son père.
Le vieux se déchaîne en moi tandis qu’Éric me soutient tout en me baisant la bouche. En quelques minutes, le vieux se retire et laisse la place à son fils.
– Écartes un peu tes fesses, je n’arrive pas à trouver ta chatte.
– Tien ma belle ? Un sucre d’orge pour l’ami dalle.

Éric rigole de la connerie de son père. Je n’y comprends rien et de toute façon, j’ai hâte que ça se termine.
J’écarte mes fesses comme demandé et j’attends qu’il me pénètre. De toute façon, après son père, sa queue je ne vais pas trop la sentir. Elle a beau être longue, seule le gland est un peu impressionnant. Pour le reste ?
Le vieux me baise la bouche plus que je le suce, il est rouge comme une écrevisse.

Le fiston me baise bien pendant que je suce le père. Malgré moi ? Je commence à prendre du plaisir à me faire baiser.
Soudain, une douleur m’irradie brutalement. Éric vient de m’enculer, m’enfilant d’une traite, sans prévenir, sans préliminaire. Au même moment, Paul décharge son foutre sur ma langue.

Je gargouille ma douleur, j’avale d’une traite le sperme du vieux. Puis, je me jette en avant pour rejeter l’ignominie que vient de me faire son fils. Éric me suit et s’écroule sur mon dos. Je suis empalé par sa colonne de chair, j’ai l’anus en feu, ça me brûle, c’est douloureux.

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