LE CHEPTEL DE MADAME chapitre 15 les visites de &#
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LE CHEPTEL DE MADAME chapitre 15 les visites de &#LE CHEPTEL DE MADAME chapitre 15 les visites de ‘Carpette”Carpette’ avait pris goût à ses visites au domaine. Il y venait de plus en plus souvent, restant parfois plusieurs jours. Il était devenu le fournisseur attitré de chaussures pour Madame, Marion et Josyanne. Celles-ci ayant repéré une paire qui leur plaisait n’avaient qu’a le mentionner pour que le lendemain ‘Carpette’ se présente au domaine avec les chaussures convoitées.Le cérémonial était toujours le même : Il se mettait nu, à genoux, tête baissée devant la future propriétaire, la boîte posée sur ses mains tendues et demandait respectueusement l’autorisation de déchausser sa déesse et de parer ses pieds divins du contenu de la boîte.Celle-ci lui donnait l’autorisation du bout des lèvres. Il ôtait avec précaution les chaussures qu’elle portait, les embrassait, reniflait l’intérieur et chaussait avec des gestes précautionneux la déesse avec celles qu’il sortait de la boîte.Après avoir posé les lèvres sur les nouvelles chaussures, il relevait la tête et demandait « Vos nouvelles chaussures vous plaisent-elles, oh ma déesse ? » La réponse assortie d’une moue dédaigneuse était généralement « Oui, enfin ,ce sont des chaussures, quoi ! Mais sont elles vraiment confortables et conviennent-elles à mes pieds ? Il faut que je les essaie pour être sûre… »C’était le signal déclenchant qu’attendait ‘Carpette’. Il s’allongeait au sol d’abord sur le ventre. La Maîtresse montait alors sur lui et parcourait de long en large le corps offert plantant les talons s’il y en avait dans la peau. «Oui, ça me paraît correct, voyons sur l’autre côté… »’Carpette’ se retournait, jambes écartées, bras le long du corps, paumes de mains vers le haut. La Maîtresse reprenait ses allées et venues, laissant les marques des talons sur la peau. Elle écrasait les semelles sur la bouche et la queue de ‘Carpette’, faisait sucer les talons l’un après l’autre.Elle descendait et écrasant les mains offertes sous les semelles ou les talons disait « En fait elles me vont bien, je vais les garder, combien est-ce que je te dois ? » « Oh rien ,Maîtresse, c’est un plaisir de vous les offrir si vous les acceptez »« Eh bien merci, dans ce cas, tu mérites une récompense pour ta générosité… » Elle se plaçait entre les jambes kaçak iddaa de ‘Carpette’ et commençait une branlette avec les chaussures qui ne tardait pas à faire son effet. ‘Carpette’ éjaculait, la Maîtresse s’arrangeait pour recueillir le sperme dans les anciennes chaussures laissées tout près.’Carpette’ se retournait alors, rampait jusqu’aux chaussures souillées et léchait l’intérieur jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucune trace de sperme. Il y avait toujours quelques gouttes qui étaient arrivées sur le parquet. « Tu ne vas pas laisser le parquet dans cet état je suppose ? » ‘Carpette’ rampait jusqu’à l’endroit désigné et le nettoyait de toute trace avec sa langue. La Maîtresse à nouveau perchée sur son dos contrôlait le travail. Elle descendait enfin, administrait un coup de pied dans les couilles de ‘Carpette’ qui poussait un couinement. « Tu es ridicule et tu es un sale porc, tu vas filer te mettre au coin à genoux mains sur la tête ! »Elle posait une paire de pinces dentées reliées par une chaînette sur les tétons de ‘Carpette’, y suspendait une des anciennes chaussures et fourrait le talon de l’autre dans sa bouche. ‘Carpette filait alors au coin se mettre à genoux sur une baguette disposée là, mains sur la tête et se préparait à passer des heures dans cette position. « Attention à ce que mes chaussures ne tombent pas, je prendrais çà comme une insulte » menaçait la Maîtresse.Elle revenait en général plusieurs fois le revoir, décochait un coup de pied dans les couilles de ‘Carpette’ qui réprimait son mouvement de douleur qui aurait pu faire tomber les chaussures. « Mes chaussures vont-elles bien, chien ? » Seul un grognement sortant de la bouche pleine lui répondait. Au bout de plusieurs heures de ce traitement, ‘Carpette’ les genoux meurtris, les tétons en feu, la bouche insensible à force d’avoir serré le talon, la langue gonflée était enfin libéré par la Maîtresse de son calvaire.« Finalement elles me vont très bien ces nouvelles chaussures ! Tu peux partir maintenant … »’Carpette’ malgré la douleur qu’elle venait de lui infliger durant plusieurs heures, heureux qu’elle s’intéresse à lui, gardant le souvenir de ses pieds maltraitant son corps puis lui donnant une superbe jouissance levait un regard plein de reconnaissance vers sa déesse et se confondait en remerciements. kaçak bahis Il se rhabillait rapidement et quittait le domaine se demandant quand il serait à nouveau convoqué par une de ses déesses à la fois cruelles et adorées.’Carpette’ est finalement plein de fantasmes plus ou moins inassouvis. Il a fini par avouer à Madame Claire qu’il aimait bien les culottes sales. Il en a même une collection établie au fil des rencontres et en payant sur internet sur des sites spécialisés. « Si ce n’est que ça lui à répondu Madame, tu vas être servi ! En plus des nôtres, je vais demander à toutes les Maîtresses qui passent ici de me laisser une ou plusieurs de leurs culottes sales et une fois par semaine, tu passeras me les demander»A la fin de la semaine, ‘Carpette’ arriva plein d’espoir de compléter sa collection. Claire, Marion, Josyanne, Margot et une cavalière de passage l’attendaient. « Je ne savais pas que tu appréciais les culottes sales… » fit remarquer Margot d’un ton amusé.A genoux devant Claire, ‘Carpette’ attaqua « Voulez-vous avoir la bonté de me confier les culottes sales que vous avez mises de côté pour moi, Maîtresse ? » « Elles sont la dans ce sac, mais attention pas question de les emporter pour les ranger dans un tiroir… » ‘Carpette’ la regardait interloqué.Elle continua « Non tu ne vas pas les emporter, tu vas les laver ici devant nous… Comme tu vois il n’y a pas de matériel de lavage mais c’est toi qui vas le fournir. Tu vas les laver avec ta bouche. D’abord tu les lécheras pour faire disparaître tous les cadeaux que nous y avons laissé pour toi, ensuite tu les lavera dans ta bouche avec de l’eau! Tu as trois heures pour faire le travail. Une culotte propre sera posée sur cet étendage que tu vois là et nous passerons vérifier ton travail … » Effaré, ‘Carpette’ regardait le sac en plastique que Marion lui tendait, il y avait au moins une douzaine de culottes là dedans !Marion posa la première culotte sur la table basse et ‘Carpette’ tenant la culotte tendue à deux mains se pencha et commença à lécher l’entre jambes souillé. Le goût était fort, mélange d’urine et mouille resté là depuis au moins 8 jours.Lorsqu’elle jugea qu’il avait détrempé et enlevé le plus gros, Marion lui fourra la culotte dans la bouche avec une petite quantité d’eau. « Allez lave ! » ‘Carpette’ entreprit illegal bahis de laver la culotte dans sa bouche, s’appliquant à faire circuler le fragile morceau de tissu avec sa langue. Marion le regardait goguenarde. Au bout d’un quart d’heure, il retira la culotte de sa bouche. « Je crois qu’elle est propre Maîtresse » « Pose-la sur le séchoir et passe à la suivante ! Je reviens tout à l’heure.Trois heures plus tard, ‘Carpette’ avait fini de laver toutes les culottes qui étaient étalées sur le séchoir. Claire, Marion, Josyanne, Margot et la cavalière de passage inspectèrent soigneusement le travail de leur lavandière. « Celle-ci n’est pas très propre il me semble » fit remarquer Claire. « Tu mériterai que je te la fourre dans le cul et que je te la fasse relaver ! » « Pardon Maîtresses, j’ai fait de mon mieux, je vous le jure … » « Allez ça va ramasse-les et emporte-les tu les as bien gagnées … » ‘Carpette’ se confondit en remerciements pour toutes les donatrices présente et s’en fut avec son sac de trophées sans demander son reste.’Carpette’ de plus en plus assidu au domaine passa souvent des après midi entières à se faire piétiner et branler par les Maîtresses présentes selon le rite qu’il appréciait énormément. De temps à autre, une cavalière aux talons particulièrement fins laissait des traces pour plusieurs jours sur sa peau et ce d’autant plus que certaines n’étaient pas des poids plume ou étaient follement excitées et piétinaient le paillasson sans retenue. « Ma parole, tu deviens accro aux pieds de ces dames » lui fit même remarquer un jour Claire …Autre jeu apprécié de ces dames et de ‘Carpette’, les séances de léchage de chatte et d’anus, visage écrasé sous les culs ou enfoui entre les fesses des dominatrices, parfois pendant des heures. ‘Carpette’ était devenu expert à ce jeu et échouait rarement à faire jouir celle qui le chevauchait. Il avait fini par se faire aux pénétrations de trou du cul avec sa langue et en venait même à apprécier. « Tu vois qu’on se fait à tout » lui déclara Claire « et je dois te dire que certaines de nos amies de passage ont parlé de toi comme d’un lécheur hors pair ! »Marion et Claire l’enculaient régulièrement au gode ceinture à grands coups de reins s’enfonçant en lui jusqu’à la garde même avec les plus gros exemplaires de la collection histoire d’entretenir l’élargissement de son trou du cul disaient-elles mais surtout pour le plaisir de l’entendre gémir et crier sous leurs coups de boutoir. A suivre Le cheptel chapitre 16 inauguration
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