Les Jeunes Bidouilleurs de PC Ch. 09
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Susan et les jeunes bidouilleurs de PC Ch 9
Coulybaca / tonybart49
Chapitre 9 :
Solitaire Susan attendait l’arrivée de son bus pour retourner chez elle à l’issue de sa journée de travail.
– “Hé Susie, j’étais sure de te rencontrer ici! …”
Susan se figea, cela faisait deux termines qu’elle n’avait plus entendu parler des ses maîtres chanteurs, elle commençait presque à espérer qu’ils l’avaient oubliée.
– Bonjour…” répondit-elle platement alors que le bus approchait de l’arrêt.
– “On va prendre le bus avec toi ma petite chérie! … Prends ton tic-ket et va t’installer au fond du car! …” lui ordonna Ray alors que les portes s’ouvraient.
Elle s’exécuta docilement, il n’y avait qu’un passager, un jeune gars as-sis sur les premiers sièges derrière le chauffeur.
Comme elle s’asseyait sur la banquette arrière, Gary et Ray la rejoigni-rent.
– “Bouge ton cul Susie! … Je prends toujours la place le long de la vitre! …” lui intima Gary avec autorité.
Elle se glissa sur le siège, ils s’assirent de chaque coté d’elle.
– “On est bien installé…” apprécia Ray se serrant contre elle.
– “T’as-t-on manqué ma petite chérie? …”
Elle décida de ne pas répondre.
– “C’est nos bites qui lui ont manqué n’est ce pas Susie? …”
Elle se refusa à nouveau à répliquer quoi que ce soit.
– “T’es-tu fait ramoner par une grosse bite depuis notre dernière ren-contre? …”
Comme elle ne répondait toujours pas Ray, commença à s’agacer.
– “On t’a posé une question! …” grogna-t-il empoignant sa tête pour la regarder droit dans les yeux.
– “Réponds-moi! … T’es-tu fait baiser depuis notre dernière visite? …”
– “Non…” souffla-t-elle misérablement.
– “Non quoi ma chérie? …”
– “Non je n’ai pas fait l’amour depuis notre dernière rencontre! ….”
– “C’est mieux ainsi, ainsi tu n’as pas laissé ton mari te baiser de-puis! …”
– “Non, il ne m’a pas sautée! …”
En vérité il n’avait pas même essayé, et c’est là que gîtait son problème.
– “Tu dois avoir drôlement envie d’une grosse bite ma pauvre petite Susie! …” se marra Gary.
Elle entendit le zip d’une fermeture éclair que l’on descendait et pensa illico :
– “Oh non… Pas ici! ….”
– “J’ai ici ce dont tu as besoin ma petite Susie! …” la taquinait-il, sa bite en semi-érection en pleine main.
–
– – “Non pas ici…”, chuchota-t-elle embarrassée..
–
– – “Branle-le! … “lui intima Ray sèchement, “personne ne verra ce que tu fais, à moins que tu nous fasses une scène! …”
–
– Elle tendit lentement la main, empoignant la mentule de Gary à contrecœur.
– “Ne te contente pas de la tenir, branle-moi! …” ordonna Gary à son tour.
Elle obéit servilement.
Tandis qu’elle masturbait Gary, Ray baissa la fermeture éclair de son chandail et lui caressa les nibards au travers de son corsage.
– “Penche-toi en avant et suce-le! …” lui commanda alors Ray.
– “Non… Je vous en prie… Pas ici…” les supplia-t-elle larmoyante.
– “Personne ne regarde et je surveille les montées dans le bus! …” Il explosèrent de rire.
Ray lui poussa la tête sur la bite de Gary, elle entrouvrit les lèvres et enfourna docilement la grosse bite.
La main de Gary remplaça celle de Ray sur sa nuque.
– “Avale la plus profond ma petite Susie! … Oh ouiiiiiiiiii! …”
Susan faisait de son mieux pour combler ses désirs, il durcissait de plus en plus entre ses lèvres.
Gary jeta un coup d’œil furieux à son pote en l’entendant dire :
– “C’est assez pour le moment! …”
Elle se redressa.
– “Passons à autre chose ma petite Susie! …”
– “Oh oui! …” surenchérit Gary.
Il entreprit de descendre la fermeture éclair de son pantalon noir, mais Susan agrippa sa main.
– “S’il vous plait arrêtez… Ne faites pas ça… Pas ici…” quémanda-t-elle à nouveau.
– “Cesse de pleurnicher ou je te couche sur mes genoux et je te colle une bonne fessée cul nu! …” l’avisa Ray, sur ces mots il la re-leva un peu permettant à Gary de baisser son pantalon sur ses genoux.
– “Regarde-moi ça! …” rigola Ray en désignant du doigt une petite culotte extrême sexy.
– “T’es une bonne fille ma Susie, c’est sacrément érotique.”
La petite culotte était constituée de deux pans soyeux reliés entre eux par un cordon.
– “C’est parfait! …” poursuivit Ray écartant le coté droit s’offrant ainsi un accès aisé à sa fentine, son pote en fit de même avec le pan gauche.
Sa chatte rasée était entièrement exposée sous leurs yeux ravis, Susan pensait mourir de honte.
Mais ils n’en avaient pas fini, d’une petite chiquenaude Ray délia les cor-dons retenant sa petite culotte, la lui ôta vivement et la fourra dans sa poche.
Puis il sortit de son autre poche son nouveau jouet.
Un petit vibromasseur à télécommande dont la base était faite d’une mince couche de plastique
– “Tu vas te régaler Susie! …”
– “Non je vous en prie… Non… Pas ça…”.
– “Tiens-lui les mains Gary! minyon gaziantep escort …”
Gary s’empressa de s’exécuter, Ray fit coulisser le bourgeon du godemi-ché dans sa fentine avant de le glisser dans sa caverne.
La base du vibro en plastique fin se moula de suite à la conformation de sa cramouille, en épousant les formes les plus subtiles, alors qu’il l’intro-duisait aussi profondément que possible.
– “Tu peux maintenant remonter ton pantalon, ma petite chérie! …” lui annonça Ray jubilant.
– “Et ma petite culotte? …” réclama-t-elle confuse.
– “Tu rentreras chez toi sans! …” lui annonça Ray en riant aux éclats.
– « Remonte bien ton pantalon dans ta raie, je ne voudrai pas que tu perdes ton vibro! … ” lui intima-t-il d’une voix rauque.
– “Et maintenant faisons un test! …”
Susan agrippa son entrecuisse à deux mains lorsque le vibro se mit à vibrer.
Elle ferma étroitement les yeux et se mordit les lèvres au sang ne vou-lant pas laisser échapper un murmure.
– “Regarde ça marche au poil! …” jubilait Ray, et au grand soulage-ment de Susan il arrêta les vibrations, le bus arrivait à destination.
Comme ils se levaient, Ray répéta à Susan de tenir son pantalon serré contre ses fesses.
Susan montra le chemin, et comme elle les attendait Ray appuya sur la télécommande le gode se remit à vibrer doucement dans sa chatte em-brasée.
Cette fois elle ne put s’empêcher de gémir.
– “Ca va mon amour? …” l’interrogea le conducteur alors qu’elle ser-rait ses cuisses l’une contre l’autre.
– “Oh oui… Ce n’est rien! …”
– “Juste le temps de terminer ce qui est encours? …”
– Oui… Oui… C’est cela même! …” s’efforça-t-elle de lui répondre alors que le bus s’arrêtait à la station et que les portes s’ouvraient.
Ray appuya sur le bouton d’arrêt.
Quand ils furent tous sortis du bus, au grand soulagement de Susan ils lui dirent d’aller chez elle, qu’ils la rejoindraient une dizaine de minutes plus tard.
Alors qu’elle rejoignait sa maison, elle repensa à ce qui venait de se passer dans le bus et se dit qu’elle devait mettre une bonne fin à tout ce-la.
Une fois chez elle, elle grimpa à l’étage et se débarrassa de son uni-forme.
Le vibreur chut au sol alors qu’elle enlevait son pantalon humide.
Elle était maintenant déterminée à mettre un terme au chantage de ces deux jeunes gens.
Elle reposa la première petite culotte sortie dans le tiroir, elle était bien trop sexy, elle en prit une autre bien plus classique. Elle l’enfila sous un vieux jean défraîchi.
– “Bon sang, il est un peu trop étroit mais il fera l’affaire! …”
Elle garda son affriolant petit soutien-gorge de dentelle celui que Ray avait volé disant qu’il allait avec sa petite culotte.
Puis elle enfila un tee-shirt, elle redescendit au rez-de-chaussée et lança le gode vibrant au dessus du vaisselier de la cuisine, juste à temps, ils frappaient déjà à la porte.
Ils pénétrètent dans la cuisine.
– “Que se passe-t-il Susie, Tu t’es changée? …”
Susan se tenait droite, appuyé contre la table, elle leur dit qu’elle voulait tout arrêter.
– “On s’est bien amusé les gars, mais je suis mariée, et cela ne peut plus continuer plus longtemps! … Nous allons tous reprendre le cours de nos vies habituelles! …. leur dit-elle d’une voix assurée.
– “Veux-tu vraiment qu’on arrête ma petite Susie? …”
– “Oh oui… Oui… Oui… Vous êtes de jeunes adolescents, je suis une ménagère avec des responsabilités et tout ça! …”
– “Viens ici Susie, je sais bien ce dont tu as besoin! …”
– “Tu n’es qu’une salope affamée de grosses bites! …”
– “Je ne veux plus que vous parliez de moi comme ça! … Et mainte-nant filez! …” leur intima-t-elle pointa son doigt vers la porte.
– “Ouais, et on ne sera pas sortis depuis 5 minutes que tu te rueras à l’étage pour te branler avec le gode vibrant! …”
– “Non… Non… Je ne ferai jamais ça! …” pleurnicha-t-elle égarée.
Ils s’approchèrent d’elle et Ray poursuivit :
– “Rien qu’à voir ta bouche on sait que t’as envie de sucer une bonne bite! …”
Feignant de ne pas avoir entendu ce dernier commentaire elle reprit
– « Allez, filez! …”
– Ta chatte est trempée, t’as une folle envie de te faire ramoner! …”
– “Non… Je vous en prie…” murmura-t-il sentant son corps sur le point de la trahir à nouveau en entendant les jeunes gens s’adres-ser à elle aussi vulgairement.
– “Et une qu’autre bite te fore le trou du cul! …”
– “Je vous en prie.. Laissez-moi tranquille… Partez! …”
Ils ne voulaient pas renoncer aussi facilement, et se réjouissaient de la voir lutter avec sa bonne conscience.
– “Prouve-nous que tu n’es pas une fieffée salope et on te laisse tranquille ma petite Susie! …”
– “Je veux juste que vous partiez! …”
L’ignorant Ray se lova contre et frotta sa bite contre ses cuisses.
Il poursuivit :
– “Ecoute-moi bien ma petite chérie, minyon escort gaziantep si tu veux qu’on parte, dis-nous trois petites choses et c’en sera fini avec nous! …”
– “Non, Je veux seulement…”
– «On sait! …” la coupa-t-il sèchement.
La petite ménagère dut faire appel à toutes ses ressources pour endi-guer sa faiblesse grandissante.
– “Ensuite vous partirez? …”
– “C’est le marché! …”
– “Pour commencer dis-nous que tu n’as aucune envie de sucer nos grosses bites bandées! …”
– “Mais…”
Ils savaient pertinemment qu’employer un langage vulgaire et sexuel retournerait “l’honnête petite femme”.
– “Je te rappelle que tu dois nous répondre si tu veux qu’on parte! …”
– “Je… Je ne veux pas… Je ne veux pas… Sucer vos grosses queues! …” parvint-elle à murmurer.
Ray sourit à son pote.
– “Je ne la crois pas! …” commenta Gary.
– “Moi non plus, mais c’est elle qui le dit! …”
– “Et maintenant Susie dis-moi que veux pas qu’une épaisse men-tule te ramone le trou du cul! …”
– “Je.. Je ne veux.. Je ne veux pas.. Qu’une… Une grosse bite me ramone… Me ramone le trou du cul! ….” balbutia misérablement la malheureuse.
– “T’es une bonne fille ma Susie… répéter-nous ça! …”
Que le ciel en soit remercié se dit-elle rassemblant ses dernières res-sources morales.
– “Dis-nous que tu n’as pas envie de sentir nos doigts fureter dans ta chatte, ni nos lèvres lécher ta chatoune, encore moins nos bonnes grosses mentules te labourer la cramouille! …” avança Ray lente-ment.
– “Mais…” voulut-elle protester.
– “Allez Susie, si ta petite foufoune détrempée n’a besoin d’aucune attention dis le nous! …”
– “Mais… Mais… Je ne veux pas.. Je ne veux pas de bite… De bite dans ma petite… Dans ma petite chatte! …”
– “Est-ce bien vrai ma petite Susie? …. On en doute! …”
– “C’est… C’est vrai… ” ajouta-t-elle éperdue.
– “Très bien, Susie, alors écoute-moi bien…” lui doit-il et immédiate-ment elle sentit sa chaude haleine envelopper son oreille.
– “Dis-nous que tu n’as pas envie de sentir nos doigts fureter dans ta chatte, ni nos lèvres lécher ta chatoune, encore moins nos bonnes grosses mentules te labourer la cramouille! …” répéta Ray lente-ment.
Alors qu’une fois de plus elle se raidissait pour répondre, Ray décida de changer les règles du jeu, il commença à frotter lentement sa main dans son entrecuisse.
– “Ohhhhhhhhhhmon Dieuuuuuuuuuuuuuu…” gémit-elle en empoi-gnant son poignet.
– “Allez Susie dis-nous que tu ne veux plus qu’on te doigte…” reprit-il forant son doigt dans sa cramouille au travers de son jean.
– “Ohhhh, je vous en prie, tu… » pleurnicha-t-elle en tentant faiblement de lui faire lâcher prise.
– “Non… Ooooh.. Je vous en prie…”
Et voilà que Gary s’en mêlait à son tour, il empoigna son nibard gauche et entreprit de le peloter rudement au travers de son corsage.
Elle saisit aussi le poignet de Gary mais les deux ados savaient que ce n’était qu’une imploration.
– “Si tu veux que l’on te baise ma petite Susie, il faut t’allonger sur le dos…” l’admonestation-il suavement.
– Non, Je… Je… “
– “Tu n’es qu’une fieffée salope avide de grosses bites ma petite Su-sie…”
La pauvre ménagère tenta en vain de protester, elle chancelait tant sur ses jambes qu’elle dut s’appuyer contre la table.
Elle agrippa le bord de la table pour s’équilibrer, ce qui livra son corps à la complète disposition de Ray et Gary.
Ils comprnaient tous trois que le corps de Susan était sur le point de tra-hir sa volonté.
Ils savaient pertinemment quoi faire pour la subjuguer, Rien n’était perdu pour les deux ados, Gary la poussa en arrière tout en lui pétrissant les loches.
– “S’il vous plait… J’aime… J’aimerai que vous partiez! ….”
– “Allonge-toi sur le dos petite Susie! …” lui susurra Gary et d’un petit effort il la coucha le dos sur la table.
Ils l’avaient disposée dans la position qu’ils voulaient, allongée le dos sur la table, jambes pendantes sans toucher le sol.
Ses jambes étaient légèrement ouvertes, ce qui permettait à Ray de continuer à lui pétrir l’entrejambe au travers de son jean.
Il arrêta et se pencha sur elle :
– “C’est mieux ainsi ma petite Susie, tu vas redevenir notre petite pute ma petite chérie! …. Tu t’es comportée en méchante fille, n’est ce pas! …”
Susan hocha la tête sans dire un mot.
– “Notre histoire prendra fin quand on décidera d’y mettre fin, et pas avant, t’as bien compris! …”
De nouveau elle hocha la tête.
– “Comme punition on va te donner une bonne fessée, tourne-toi en vitesse! …”
– “Non… Je vous en prie… Je suis désolée…” les supplia-t-elle misé-rablement.
– “Désolée de te comporter comme une sale gamine? … C’est d’ac-cord Susie si tu promets de te conduire en gentille petite fille, on ne te donne pas de fessée! …”
– “Oh oui… Oui… Je le promets! gaziantep minyon escort … Je serai une gentille fille! …
Ray déboutonna son jean et vit alors sa culotte.”
– “Qu’est ce que ça veut dire? …”
– “Je… Je suis désolée! … C’est une erreur! …”
Ray remarqua le “mercredi” inscrit sur la ceinture de la culotte rose.
– “Quel jour sommes-nous Susie? …”
– Mardi…”
– “Il est marqué mercredi sur ta culotte, t’es donc si négligente que tu oublié quel jour on était? …”
– “C’était une erreur! …”
– “As-tu une culotte pour chaque jour de la semaine? …”
– “Oui…”
– “C’est très bien, j’aime cette idée, on te baisera dans chacune d’elle! …”
Gary était déjà occupé à lui malaxer les nichons lorsque son pote lui dit :
– “Vire-lui sa chemise…”
Elle n’opposa aucune résistance alors que son tee-shirt franchissait ses épaules et sa tête.
Ray la fit s’asseoir, ainsi son pote put plus facilement dégrafer son sou-tien-gorge.
Comme elle s’allongeait à nouveau sur le dos, son soutien-gorge rejoi-gnit son tee-shirt sur le sol de la cuisine.
– “Caresse tes nibards Susie! ….” comme ordonné, elle entreprit de se pétrir les nichons.
– “Et maintenant glisse ta main dans ta culotte du mercredi et branle toi! …”
Elle obéit lentement, insérant sa main dans sa petite culotte.
– “Es-tu mouillée petite Susie? …”
– “Oui…”
– “Montre-nous tes doigts! …” elle sortit sa main de sa petite culotte pour leur montrer ses doigts trempés de mouille.
– “Je savais bien que ta petite chatte était trempée! ….”
– “Suce tes doigts… Oui comme ça… Et maintenant on veut te voir te branler frénétiquement! …”
Sa main disparut rapidement dans sa sage petite culotte et s’agita bien-tôt avec ardeur.
– “Et maintenant je veux que tu te fases jouir! …. Ici sur ta table de cuisine! …. Sinon on te refile une bonne fessée! ….”
– “Nonnnnnn… » répondit-elle d’une voix rauque, alors qu’il lui ôtait son jean.
Ils la regardaient étendue sur le dos sur la table de cuisine, en petite culotte se branlant frénétiquement pour leur faire plaisir.
– “Bordel elle me fait bander comme un cerf! …” explosa Gary.
– “C’est trop bon, mon gars, filme la donc sur ton mobile! ….”
Susan haletait lourdement, elle s’était déjà souvent branlée, mais jamais allongée sur la table de la cuisine. Elle se mit à se tortiller d’un coté à l’autre alors que montait son orgasme.
– “Es-tu sur le point de jouir ma petite Susie? …” lui demanda l’un des deux.
– “Oui, oh ouiiiiiiiiii… ” souffla-t-elle éperdue.
– “Dis-nous que tu n’es qu’une fieffée salope ma chérie! …”
– “Oui, oui, je suis une fieffée salope! …”
– “Et à qui appartient cette foutue salope Susie? ….”
– “A vous, je vous appartiens totalement… Vous me faites faire des choses si… Si dégradantes… Je ne devrai pas! ….” balbutiait-elle sur le point d’exploser.
– “Je suis à vous… A vous! …. Je vous appartiens! …. Ohhhhh mon Dieuuuuuuuuuu…” un puissant orgasme la terrassait toute, lorsque ses sursauts convulsifs s’apaisèrent, elle resta allongée sur le dos, la main toujours enfoncée dans sa petite culotte haletant difficile-ment.
Elle avait les yeux fermés ses cheveux lui couvraient le visage.
Gary cliqua sur son portable photographiant une des scènes les plus sexy qu’il ait jamais connue.
Ils se tenaient tous deux de chaque coté d’elle médusé de l’avoir vue jouir avec une telle intensité.
– “Une bonne performance de salope Susie… » la félicita Ray hilare.
– “Je crois qu’elle a bien gagné une récompense, ne crois -tu pas Gary? …”
– “Bordel, elle va commencer par me sucer la bite! …” répliqua Gary posant son gland sur ses lèvres.
– Allez ouvre la bouche ma petite chérie! …”
Elle obéit promptement.
– “Ouais, t’as raison elle peut aussi sucer la mienne! …”
– “T’as juste à ouvrir un peu plus la bouche pour les prendre toutes deux en bouche en même temps! …”
Une fois de plus elle obtempéra servilement, ils glissèrent simultanément leurs deux mentules dans sa bouche écartelée.
– “Sers-toi de ta langue! …” lui ordonna Ray sèchement.
Voulant plus, Gary extirpa sa bite de sa bouche la laissant sucer docile-ment son pote. Il se déplaça vers l’autre bout de la table, il remarqua, je-té sur le vaisselier, le vibromasseur qu’ils lui avaient fourré dans la chatte dans le bus,
Celui lui donna une excellente idée.
Susan était couchée sur le flanc pour sucer Ray plus à son aise.
Gary lui releva les jambes la remettant à plat sur la table, La bite de Ray glissa de ses lèvres.
Susan en profita pour respirer à, plein poumons, et Gary en profita pour la débarrasser de sa petite culotte.
Comme Ray replaçait sa grosse bite entre ses lèvres accueillantes, son pote enfonçait le vibromasseur dans le trou du cul de Susan.
Il lui replaça les jambes sur la table et les écarta en grand.
Elle poussa un sourd grognement alors qu’il enfonçait l’olibos vibrant dans soin anus, une seconde plus tard il enfournait son chibre épais dans sa petite chatte frémissante.
– “Mmmmmmmmmmp oooooooh…” cria-t-elle alors que Ray coulis-sait activement entre ses lèvres.
– “Aaaaaah… Ooooooh mmmmp… “Ray s’enfouissait dans sa gorge étouffant ses cris, alors que déjà elle succombait à un orgasme fulgurant.
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