Ma Logeuse Ch. 12

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Anal

La journée fut terne. Je commençais mes révisions pour le nouvel examen mais mes pensées ne pouvaient s’évader d’Hélène et de Carole.

Le soir, elles rentrèrent tôt. Hélène me fit embrasser leurs chaussures. Puis elle ajouta l’air sévère :

« Ce soir, petit-puceau, tu vas recevoir la dernière partie de ta punition. »

Je ne sus pas trop quoi répondre, sachant que cette histoire de punition était juste une excuse pour m’humilier encore un peu plus.

« Va nous faire à manger »

Je me précipitai dans la cuisine me demandant ce qu’elles avaient encore en tête.

Après le repas, Hélène me dit abruptement de monter dans sa chambre et de les y attendre.

Elles arrivèrent quelque minutes plus tard. Hélène me mit un bandeau sur les yeux et on m’enfila à nouveau une culotte dans la bouche, fixée par l’éternelle bande de scotch. Puis on m’enleva ma

cage.

« Mets toi à quatre pattes »

J’obéis et je sentis leurs mains qui me repositionnaient en travers du lit, on attacha ma cheville gauche avec une bande de cuir, puis ma cheville droite maintenue très éloignée de la première, ce qui m’obligea à poser ma tête sur le drap pour conserver mon équilibre. Je me sentais très vulnérable, à quatre pattes, les fesses en l’air, sans pouvoir intervenir sur la suite des événements.

Et elles appliquèrent une pommade fraîche sur mon anus et je sus ce quelle voulaient faire. Je tentais de me débattre mais ma position ne rendait pas la chose facile.

Ce fus la voix de Carole qui répondit à mes ruades

« Calme toi petit-puceau, je vais découvrir quelque chose ce soir, laisse toi faire, laisse nous faire »

Un doigt tenta de s’introduire en moi. Je me tendis instinctivement. Le doigt insista et aidé par la lubrification fini par me pénétrer. J’avais envie de hurler contre cette intrusion mais mon bâillon ne laissait passer que de vagues gémissements. Le doigt fit quelques va-et-vient dans mon fondement et la douleur initiale s’atténua pour laisser place à une honte indicible.

Puis le doigt sortit remplacé très vite par un contact froid contre mon anus. La pression augmenta et je me sentis pénétré. Pas de beaucoup, de quelques centimètres, mais j’imaginais l’une des deux femmes qui était en train de me prendre et je me mis à pleurer. La douleur était revenue, une sensation d’écartèlement difficilement supportable. Petit à petit, va et vient après va-et-vient, le godemiché pénétrait davantage en moi, jusqu’à me remplir tandis que la brûlure terrible du début diminuait progressivement. Je me sentais possédé, violé J’avais la conscience aiguë d’être totalement à leur merci, d’être le simple jouet de leur plaisir et je commençais à en éprouver une sorte de plaisir masochiste.

J’entendis, comme dans un rêve le cri sourd de jouissance de celle qui m’avait prise et je reconnus le long feulement d’Hélène. Le gode ressorti brutalement de moi, laissant un sorte de vide presque aussi pénible que son intrusion. Il y eut des bruits, je n’étais plus vraiment en mesure d’analyser le monde qui m’entourait, puis à nouveau la pression contre mon anus, la pénétration, les va-et-vient, et au bout d’une éternité, le cri rauque de la jouissance de Carole pendant que je me sentais couler sur les draps.

Et à nouveau ce vide quand elle se retira. Et la voix étonnée de Carole.

« Il a joui »

« Non, il s’est juste vidé. ça arrive parfois quand il est trop en manque, on a du masser sa prostate»

« Hélène, c’était extraordinaire, prendre un homme, c’est une chose qui m’a souvent fait fantasmer»

« Attends, on va lui demander ce qu’il en pense »

Me redressant, elle arracha brusquement le scotch et ôta la culotte qui m’emplissait la bouche.

« Alors petit-puceau, ça t’a plu? »

Je me rendis compte à cet instant que, malgré ma douleur, malgré ma honte, ou peut-être à cause d’elles, j’avais éprouvé un certain plaisir à être utilisé selon leur bon vouloir

«Ça fait mal.. mais je vous appartiens… faites de moi tout ce que vous voudrez »

Hélène me donna une claque sur les fesses en riant.

« Tu vois, tout le monde est content, j’ai joui, tu as joui, lui il s’est vidé les couilles »

Puis elle se pencha vers moi , embrassa mes paupières mouillées de larmes et murmura à mon oreille.

« Si tu savais comme je t’aime, Pascal »

Et malgré ma honte, le monde me paru subitement plus beau.

On détacha mes chevilles et je pus enfin me redresser, on m’enleva mon bandeau. Je regardais les deux femmes, Hélène avait un sourire narquois, Carole, elle, avait les yeux qui brillaient et une sorte de sourire extatique. J’avais mal à l’anus mais c’était supportable. Hélène pointa son doigt vers le lit et me dit d’une voix ferme :

« Lèche ton foutre »

Je penchais la tête, j ‘aperçus l’espèce de barre métallique qui m’avait tenu les pieds écartés et la petite flaque de mon sperme.

Sans discuter, je me baissais et léchais mes sécrétions gluantes et acres, qui me donnait des nausées. Je sentais le regard des deux femmes sur rus escort moi pendant que j’effectuais cet acte avilissant. J’étais dans une sorte d’état second, réagissant comme un robot aux ordres qu’on me donnait et je me sentis pour la première fois vraiment l’esclave devant ses Maîtresses. Hélène se pencha et remis en place ma cage de chasteté.

« Bon, allez, va nettoyer le godemiché et allons nous coucher. »

Je pris en main l’objet qui m’avait fouillé. Je vis, à ma grande honte, de légères traces brunâtres sur le préservatif recouvrant le cône qui m’avait pénétré. La partie phallique, était, elle, couvertes des traces blanches laissées par les sécrétions des deux femmes. Je me rendis comme un zombie dans la salle de bains, jetai le préservatif souillé dans les toilettes et passait l’objet en plastique sous l’eau chaude en le frottant avec un savon de Marseille.

Quand je revins dans la chambre, Carole était partie et Hélène était allongé sous sa couette, les genoux relevés, ses lunettes sur les yeux en lisant son livre. La scène me paru tellement calme, apaisée, normale, que je me demandais ce que je faisais là, avec à la main un godemiché double qui venait de me sodomiser et dont les lanières frottaient contre mes jambes. Hélène releva les yeux, pas dessus ses lunettes.

« Pose le là et viens te coucher »

Elle s’aperçut de mon air hagard

« Pascal… ça va? »

Cette question balaya l’espèce de transe dans laquelle j’étais et en un instant, tout me parut clair. Je venais de donner la partie la plus intime de ma personne, aussi bien de mon corps que de mon âme, aux deux femmes que j’aimais et je n’avais pas à en avoir honte. Quand je me rappelais le regard de Carole, je me mis même à éprouver une sorte de fierté à cet ultime don de moi. Je fixai Hélène qui semblait réellement inquiète et je sentis une énorme vague d’amour m’envahir.

« Oui, Hélène… ça va… ça va très bien »

« Viens te coucher »

Je m’allongeai sur mon tapis, mais une chose me tourmentait encore, sans que je sache exactement quoi… et les mots sortirent de ma bouche, comme prononcés par un autre.

« Hélène… ce soir, pour la première fois, je me suis vraiment sentis votre esclave à toutes les deux… et ça m’a plu »

« Pascal, tu es notre esclave parce que tu le veux, parce que tu en crève d’envie, parce que tu en as besoin… et nous sommes tes Maîtresses exactement pour les même raisons. Carole a goutté au jeu de la domination et elle est maintenant accroc, elle ne s’en rend pas encore tout à fait compte mais, crois moi, je suis passé par là »

Puis elle changea de sujet

« … on ne t’a pas fait trop mal? »

« Si, surtout au début, et puis, après, je ne sais plus, j’étais comme dans un rêve »

« Un beau rêve? »

« Non, pas vraiment, j’avais honte… j’avais surtout honte du plaisir que je commençais à y prendre… »

« Pascal, nous t’aimons vraiment toutes les deux, nous ne te ferons jamais faire des choses que tu détesterais, mais nous pouvons te pousser un peu dans tes retranchements… et Carole a tellement appris sur elle-même ce soir… tu es en train de faire son éducation. »

« Moi, mais je n’ai rien fait »

« Tu ne te rends pas compte de ce que tu représentes pour nous deux… pour une femme, savoir qu’il y a un homme à qui on peut tout demander, même les choses qui nous paraissent les plus dégradantes, les plus sales… et qu’il en retirera du plaisir… c’est paradisiaque, on se sent forte, on se sent belle… tu sais, je t’ai parlé de mon mari, avec lui j’ai appris le plaisir de la domination, mais toi, tu as fais exploser mon univers… et je me prends à ne plus penser qu’à une chose, ce que je vais pouvoir te faire subir pour me sentir une reine »

Je l’entendis poser son livre et ses lunettes, et s’allonger dans son lit et elle éteint la lumière. J’aurai donné n’importe quoi à ce moment pour être avec elle dans son lit, respirer l’odeur de sa peau, me blottir contre son corps chaud, caresser ses formes voluptueuses.

« Bonne nuit Pascal »

« Bonne nuit … Maîtresse »

J’entendis son petit rire gai et elle reprit.

« Bonne nuit esclave »

Je fus réveillé le lendemain samedi par le bruit de la douche. Je me levai difficilement, j’avais encore mal au cul. Le lit était dans un désordre total, les draps emmêlés comme si on s’était battu. je me penchai pour respirer l’odeur du corps d’Hélène mais je fus déçu, l’odeur était très faible, à peine sensible, couverte par l’odeur de lessive à telle point que je me demandais si ce n’était pas juste un effet de mon imagination.

Hélène sortie de la salle de bain en peignoir, une serviette enroulée sur la tête.

« Qu’est ce que tu renifles? »

Je me redressais brusquement.

« Euh… rien… vous »

Elle eut un grand sourire.

« Je sens si fort que ça? »

« Ben non, justement, je n’ai senti que l’odeur de lessive »

« C’est incroyable comme tu ne vis que par ton nez, tu as yenimahalle escort du être chien de chasse dans une autre vie.. »

Je la vis se diriger vers son armoire, et fouiller dans son carton à malice.

« Ce que tu m’as dit hier m’a donné une idée, aujourd’hui, tu va être notre esclave »

Elle s’approcha de moi et passa autour de mon cou un collier de chien, équipé de nombreux anneaux. Puis elle y accrocha une laisse de cuir.

« Voilà, à partir de maintenant, tu es officiellement notre esclave. Tu fais exactement tout ce qu’on te dit de faire. Je t’autorise à me répondre esclave »

Je sentais l’odeur de lavande de sa peau à la sortie de la douche. Je la fixais dans les yeux un moment et perçut son regard mi-amusé, mi-excité, puis je baissais les yeux.

« D’accord Maîtresse »

Je ressentais la tension de mon sexe dans sa cage et j’étais certain qu’elle n’en perdait pas une miette.

« Mets toi à genoux »

J’obtempérais et m’agenouillai, elle me mit sa culotte de la veille dans la bouche et la fixa comme d’habitude avec une bande de scotchl

« Voilà, jusqu’à ce qu’on te dise autre chose, tu vas passer la journée à genoux… et tu ne dois regarder aucune d’entre nous plus haut que la taille, c’est compris, remue la tête si tu as compris »

J’acquiesçais, perdu à nouveau dans un monde excitant de soumission.

Elle s’habillât, me révélant de dos son corps superbe, puis saisit la laisse qui pendait de mon cou.

« Ce matin, c’est moi qui vais préparer le petit-déjeuner, tu me suis »

Je la suivis à genoux les mains dans le dos, jusqu’au haut de l’escalier. Et là, il fut clair pour nous deux que je ne pouvais pas descendre l’escalier à genoux.

« Lève toi, mais garde tes mains dans ton dos »

Cela fut très difficile de me relever, les mains dans le dos, et elle fut obligée de m’aider comme elle le put..enfin, je finis par me retrouver debout. Je commençais à avoir une forte envie de pisser. Nous descendîmes lentement l’escalier, elle, me tirant par ma laisse, moi les yeux rivés sur son postérieur. Je commençais à éprouver un plaisir étrange à cette situation nouvelle mais mon envie se faisait pressante. Arrivé en bas des escaliers, elle me fit me remettre à genoux

Passant devant les toilettes, je m’arrêtais, elle sentis la brusque tension dans la laisse et se retourna. Par des mouvements de la tête, je lui indiquais la porte des WC.

« Tu as envie de pisser? »

J’acquiesçais fébrilement de la tête.

« Eh bien retiens toi »

Et donnant un coup brusque sur la laisse, elle me conduisit vers la cuisine.

Elle me mit dans un coin pendant qu’elle préparait tranquillement le déjeuner. Je sentais petit à petit le goût salé des sécrétions de la culotte détrempées par ma salive me couler dans la bouche Le froid dur du carrelage commençait à rendre ma position agenouillée assez pénible et par-dessus tout, l’envie d’uriner me taraudait.

Carole arriva, je ne vis d’elle que son jean et ses bottines, n’osant pas lever les yeux plus haut, malgré l’envie terrible que j’en avais. Je l’entendis poser sa question d’un vois étonnée

« Qu’est ce qui se passe? »

Hélène lui répondit d’une voix détachée, tout en continuant la cuisine dont je humai l’odeur et dont j’entendais les frémissements.

« Rien, c’est notre esclave pour la journée… tu fais de lui absolument tout ce que tu veux, à une exception, son sexe ne doit pas pénétrer ton corps, d’aucune manière, pour le reste, il est entièrement à toi. »

Je vis le jean de Carole se dresser face à moi sans pouvoir déterminer ce qu’elle pensait. Je commençai vraiment à me demander ou tout cela allait nous mener, et je serrais les cuisses pour éviter, autant que possible, de me pisser dessus.

Elles s’assirent à table et prirent leur déjeuner en discutant tranquillement, je ne pouvais plus tenir et j’essayais d’attirer leur attention à travers le bâillon. Carole compris mes plaintes

« Il veut dire quelque chose »

Hélène répondit de manière calme tout en mangeant sa tartine.

« Oui, il a envie de pisser »

La réponse de Carole me stupéfia.

« Oui, moi aussi, je reviens.. »

Je la vis partir aux toilettes et j’entendis la chasse d’eau, ce fut trop pour moi et je sentis ma vessie se libérer sans que je ne puisse rien y faire.

Carole était revenue et ce fut elle qui remarqua mon relâchement.

« Mais il pisse.. »

Hélène de leva brusquement et m’asséna une gifle.

« Tu va payer pour cela »

C’était la première fois qu’elle levait la main sur moi bien que ce ne fut pas une claque trop forte, je la ressentis douloureusement mais malgré la honte que je ressentais , je ne pouvais plus m’arrêter et je continuais à me vider sur le carrelage avec une sensation de libération. Hélène paraissait très en colère mais je voyais à son regard qu’il s’agissait d’un jeu et que celui-ci lui plaisait

« Nettoie ça et on en reparleras »

J’essayais de me relever quand Hélène m’arrêta

« Qu’est ce que tu fais… non, tu restes à genoux et tu nettoies »

Je parvins à prendre une serpillière et à éponger l’urine sur le carrelage.

C’était dégoûtant et tout, sauf érotique… et pourtant, un frisson me parcourut tandis que je nettoyais ma pisse devant ces deux femmes qui prenaient leur déjeuner. Quand j’eus fini mon humiliant nettoyage, Hélène m’intima l’ordre d’aller les attendre sur le lit.

Allongé sur le lit encore défait, je me demandais ce qui lui passait par la tête. Je restai longtemps seul avant qu’elles fassent leur apparition. Je vis Hélène farfouiller dans son armoire et en sortir les paires de menottes

« Mets toi sur le ventre »

Sitôt que je fus en position, les deux femmes me lièrent aux montants du lit, Carole s’occupant de mes poignets pendant qu’Hélène fixait mes chevilles. J’étais ainsi complètement immobilisé, la tête dans l’oreiller ou je humais avec délice l’odeur d’Hélène. C’était la première fois qu’elles m’attachaient sur le ventre et j’éprouvais un peu de difficulté à respirer. J’entendis quelqu’un passer dans la salle de bains et revenir aussitôt. Hélène vint se placer devant moi, tenant à la main une grosse brosse à cheveux.

« Mon petit Pascal, aujourd’hui, tu vas recevoir ta première fessée »

Je blanchis à cette annonce. Je ne me souvenais pas avoir jamais reçu de fessée et je n’imaginais pas en recevoir une à 21 ans.

Hélène passa d’abord les poils de sa brosse sur mes fesses. Au début, ce n’était pas désagréable, juste une sorte de grattement, mais assez vite, cela fini par m’irriter de manière presque douloureuse et je commençai à me débattre dans mes liens. C’est alors que le premier coup tomba. Hélène me frappait avec le dos de la brosse et chaque coup irradiait des ondes douloureuses dans toutes mon ventre. Je me tortillais dans mes liens pour tenter d’échapper vainement à la claque continuelle. La douleur se faisait de plus en plus vive au fur et à mesure que ma peau était déjà marquée par les coups précédents. Hélène ne disait rien et frappait méthodiquement avec un rythme soutenu. Je sentais les larmes me monter aux yeux. Puis les coups cessèrent et je cru un instant que mon calvaire était fini quand j’entendis la voix essoufflée d’Hélène.

« Carole, à toi »

Je gémis à nouveau dans mon bâillon pour arrêter cette torture. Les premiers coups de Carole furent beaucoup plus léger que ceux d’Hélène et bien qu’ils fussent douloureux, je pensais que le plus dur était passé. Mais au fur et à mesure qu’elle prenait de l’ assurance, ces coups se firent plus fort, et assez rapidement, elle se mit à frapper au moins aussi fort et aussi précisément qu’Hélène.

La douleur devenait difficilement supportable et je crû que cela ne s’arrêterait jamais…et puis, tout d’un coup curieusement elle se mua en autre chose. Une sorte de chaleur diffuse dans tout le corps. J’avais encore très mal aux fesses mais cela devenait presque anecdotique par rapport à cette sensation totalement nouvelle. Je me rendais compte à la tension douloureuse dans le bas ventre que j’essayais de bander dans ma cage. J’étais dans une espèce de transe où toutes mes sensations me parvenaient comme filtrées, atténuées, déformées.

Et puis cela s’arrêta. Les deux femmes revinrent dans mon périmètre de vision. Elles étaient rouges, trempées de sueur. Elles me détachèrent. Je mes mis péniblement à genoux sur le lit. Hélène m’embrassa, me serrant contre sa poitrine, essuyant les larmes sur mes joues. Elles semblaient toutes les deux très perturbées parce qui venait de se passer.

Ce fut Carole qui rompit le silence

« Excuse-moi Pascal, excuse-nous…on voulait juste te donner une petite fessée, et puis les choses ont dérapé….On ne t’a pas fait trop mal? »

Je lui répondis d’une voix sanglotante

« Si, vous ne pouvez pas savoir….je croyais que vous ne vouliez pas me faire du mal »

Carole me regardait, des larmes dans les yeux, Hélène vint à son secours.

« C’est de ma faute Pascal, on n’a jamais voulu te faire mal comme ça. Mais une fois qu’on a commencé …je ne sais pas, on n’arrivait plus à s’arrêter…Je n’aurais jamais crû qu’on puisse éprouver du plaisir à infliger de la douleur… »

« S’il vous plaît… ne refaites jamais cela »

« Tu as notre promesse Pascal, On ne te fera plus jamais de mal…je veux dire physiquement… mais aujourd’hui était un jour spécial… tu es notre esclave et il fallait bien qu’on marque le coup… si j’ose dire. »

Hélène partit dans la salle de bain et revint avec un tube de pommade.

« C’est de la lidocaïne, ça va te faire du bien »

Elle me fit allonger à nouveau et me passa délicatement la pommade sur les fesses. Le contact de sa main raviva la douleur que j’éprouvais mais assez rapidement, celle-ci s’estompa.

« Tu sais ce que tu devrais faire, tu devrais allez prendre un bon bain chaud »

« Oui, Carole a raison… viens là que je t’enlève ta cage… »

Elle saisit la clé qui pendait toujours sur sa chaîne de cou, et enleva délicatement le grillage d’acier

« Oh là, avant, il faut que l’on t’épile »

« Madame, avant, est-ce-que je peux aller au toilettes »

« Aujourd’hui, ce n’est pas Madame, c’est Maîtresse… va-s-y et dépêche-toi »

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