Un peu pute à l o ccasion

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Un peu pute à l o ccasionJ’ai une partie du jardin attenant au pavillon qui demeure à l’abri des regards. Le soleil y chauffe un morceau de pelouse et une petite allée aux alentours de onze heures. Ainsi ai-je eu l’idée qui pourra paraître saugrenue de m’y vautrer et bronzer durant une heure. Je trouvais à propos a cette mi- septembre de parfaire un bronzage sur le corps qui m’avait été compté au cours de cette année. Nous n’étions partis que quinze jours à Lacanau en Juillet et la météo y avait été atroce. Bref de notables parties de mon anatomie accusaient encore une blancheur morose. Je rêvais d’y remédier.C’était une époque particulière. J’entamais un trimestre de chômage. Finalement c’était le bienvenu. Je pris cela comme un répit. Je n’étais pas mécontente qu’on m’eût foutu dehors. Mes indemnités étaient rondelettes. Mon mari et toute la famille s’employaient à me trouver un vrai et autre job. Je trouvais délicieux qu’on fut aux petits soins pour moi. L’infortune a du bon. Cependant j’avais sous-estimé que mes journées pussent être longues et oisives. J’emmenais les mômes tôt le matin. J’expédiait le ménage. Je réservais les courses pour la fin d’après-midi. La vie était belle.Mon seul chagrin fut qu’Eric mon amant ait rompu peu après que j’eus quitté la boîte. Ne dit-on pas loin des yeux loin du cœur. Le petit saligaud aussitôt que j’eus tourné les talons s’était jeté sur une petite stagiaire. Une collègue m’en avait informé. J’étais écœurée des hommes. Je ruminais de vagues idées de vengeance. En effet j’étais assurée à cette époque que mon mari lui aussi fricotait de son côté. Belle époque ! Bref mon bronzage à parfaire constituait comme un pis aller, une consolation pour la jeune et jolie femme que j’étais. Le miroir me renvoyant une image impeccable.Il me prit fantaisie en mon coin de jardin de m’offrir nue à l’ardeur du soleil. J’enduisis le corps avec force crèmes. J’étais résolu à ratt****r le temps perdu. A mon grand dam mon homme avait eu l’effronterie de ne s’apercevoir de rien. Du moins de l’affecter. Il me bourrait ainsi le cul hâlé et non plus pâle comme avant. Quel goret dis-je ! Il me saute et n’a cure de mon nouveau bronzage. Je fulminais. Qui plus est c’est moi qui requérait toujours la baise. Monsieur s’exécutait machinalement. Manifestement il réservait à sa maîtresse, son énergie. Quelle humiliation !J’en étais à ce dépit lorsqu’un jour vers midi j’entendis venant d’en haut une voix qui m’était familière. Il faut dire que je venais à cet instant de retirer le casque du baladeur de mes oreilles. Je levais la tête et sursautais. Quel fut l’étonnement de découvrir dans la partie supérieure du mur de la maison voisine me surplombant, une sorte d’ouverture que j’avais toujours ignoré. Il s’agissait en fait d’une sorte de fente tel qu’on en trouve dans certains châteaux-fort. Y passait à présent la tête et la face ahurie du voisin. Il souriait et me faisait signe. Je distinguais à peine ses propos.Je mis un temps à réaliser que j’étais à poil et qu’il voyait impunément ma chatte et mes nichons. Je perçus dans tout cela qu’il voulait me voir et m’entretenir de quelque chose d’important. J’eus cependant le geste ridicule de me vouloir couvrir les seins et de lui balancer : « Attendez cinq minutes puis venez me voir. » Aussitôt m’enfuis-je pour enfiler un paréo juché peu loin sur un transat. Ainsi me vit-il juchée sur mes mules à talons hauts. J’étais colère. Je me représentais que depuis longtemps ce cochon devait me reluquer et peut-être se branler sur mon cul hâlé.J’avais peu d’illusions sur la moralité du gredin. Il était notoire qu’il avait le regard souvent torve et lubrique. Il était de son état gendarme à la retraite. Il avait beau joué des muscles, il était maintenant affublé d’un gros ventre ridicule. Il s’était marié à une très jeune femme qu’il faisait jouir ostensiblement et qu’on entendait l’été, fenêtres ouvertes. Mon mari en était passablement offusqué. De même que moi qui détestait ladite pécore. J’eus le temps de me représenter que mon homme goûterait peu une conversation avec ce voisin honni. Aussi décidais-je sur le coup de lui déplaire.J’avais entre temps repris mes esprits. J’étais résolu à recevoir le vicieux avec un air d’insolence. Que pouvait avoir d’important à dire un aydın escort imbécile ? Je le reçus à la table du jardin sous le parasol. Je tirais nerveusement sur ma cigarette. J’étais malheureuse d’avoir renoué avec la clope. Ne dit-on pas que le chômeur picole et fume davantage que le reste de la population ? A ma grande surprise le voisin voulait m’entretenir justement de mon chômage. Un autre des voisins lui avait rapporté ma récente infortune. Tout bonnement il pensait avoir la solution pour mon genre de problème.Je protestais que mes proches et ma famille s’investissaient déjà largement à ce sujet. Il n’en citât pas moins le nom d’une boîte américaine. Cela fit tilt. En effet souvent passais-je devant les magnifiques bâtiments de celle-ci. Ceux du coin qui y bossaient s’en glorifiaient. Je ne fus pas peu étonné de savoir que le neveu de mon imbécile y était DRH. Je vis que sa proposition était sérieuse. Il me glissât dans la main la carte dudit neveu. Baissant le ton, il dit de n’en pas parler à sa gueuse. De même l’assurant de mon entière discrétion je lui en demandais autant pour mon mari.Ce secret du coup nous liait. Nous étions semblables à des conspirateurs. Nous éclatâmes de rire ensemble. Nous en étions au enième Ricard. Il matait à présent impunément mes cuisses. Il était déraisonnable de poursuivre plus longtemps cette conversation. Je songeais avec tristesse qu’il était exclu désormais que je bronzas à poil dans le même lieu. J’eus presqu’envie de dire qu’il gâchait ma fête. Que mes fesses ne seraient davantage bronzées cette année. Me devinât-il ? Il dit en effet avec muflerie : « Vous savez ne vous gênez pour moi. Bronzer nue, ma femme en fait autant. »Outre que j’étais offusquée qu’il me comparât à sa connasse, il ne voyait pas d’objection à ce que je m’offris en spectacle sous ses yeux. Pour qui me prenait-il ? Il dut s’apercevoir un peu de sa gaffe. Le lourdingue à ma mine rembrunie tâchât maladroitement de se ratt****r. « Une jolie femme comme vous. Ça doit s’entretenir. Votre mari a de la chance. Profitez bien de l’été indien. Vous avez du loisir. Vous ne faites de mal à personne. Bien au contraire. » Il ponctua ces derniers mots d’un sourire sadique. Je l’aurais volontiers giflé. N’empêche sa belle boîte américaine me tentait.Je dus me radoucir. Je lui versais un énième Ricard. Obligée de suivre la tête me tournait déjà. Je m’esclaffais telle une idiote de ces pataudes plaisanteries. J’encourageais le sot. Il vit bien que la proposition du neveu me séduisait. D’un ton sentencieux je finis par dire : « Vous savez je ne crois pas que vos américains s’enticheront d’une secrétaire tel que moi. » Il bondit sur sa chaise jurant les grands dieux que son neveu faisait là-bas la pluie et le beau temps. Il voulut sur le champ l’appeler. Je protestais. Rien ne pressait. Je rêvais d’Amérique. Je me voyais voguer sur des nuages.Bref au bout du compte, je dus lui concéder à ce cochon qu’il avait été drôlement sympa de songer à moi et même si cela ne marchait pas je lui en serais toujours redevable. Du coup, il prit un ton patelin et regardât impunément ma cuisse. Il proféra alors ces mots sans appel : »Je vous fais confiance. Vous trouverez sûrement comment me remercier. »J’avoue, je rougis. Je regrettais d’avoir abordé à une pente si glissante. Je cherchais déjà un chemin de bifurcation. C’est à cet instant qu’il revint au mari. « Ne lui en parlez pas. Il nous en voudrait. Je sais bien qu’il ne peut pas m’encadrer. »La colère contre mon conjoint me revint. Je rugis. « N’ayez crainte. Ce sont mes affaires. Je ne compte pas sur lui pour m’en sortir. Je ne vois qu’une chose. C’est que vous voulez m’aider. » Mon gendarme était aux anges. Il était assuré ce jour-là qu’une vraie complicité s’instaurait entre nous. Nous échangeâmes nos numéros de téléphone et adresses mail. Je le raccompagnais. Je perçus un peu de son regard sur mes formes. Je ne fus pas peu surprise de me dandiner roulant du cul ainsi que je fais souvent en vacances au su de mâles libidineux et mateurs. C’est mon côté salope.J’eus honte peu après. Ce con va se mettre dans l’idée que je suis une femme facile. Je me représentais aussi que mon mari et Eric m’avaient tous deux abandonné. J’avais envie que ma vie reprenne un autre sens et cours escort aydın plus glorieux. Décrochez ce job serait la solution. Cela clouerait le bec aux médisants et au mari. Je ne pouvais plus concevoir que ce poste m’échappât. Curieusement je me prenais à croire à l’optimisme du gendarme. Je pourrais faire l’affaire. Ce neveu m’appuierait. Les jours suivants nous échangèrent mails et textos. On eût dit deux amoureux.A ma surprise il excellait davantage à l’écrit qu’à l’oral. Avec humour il déplorât que j’eus renoncé maintenant au bronzage. Je lui rétorquais avec non moins d’ironie qu’il y avait eu du frais et des nuages et que l’été indien sans doute touchait à sa fin. En même temps je lui rappelais qu’il avait à discrétion aussi une jeune et jolie femme. Je me prenais ainsi au jeu. Je l’allumais. Je n’osais le relancer sur son neveu lui montrant mon impatience. Il m’informât pourtant que ce dernier était en vacances. Qu’il reviendrait sous dix jours. Je rongeais mon frein. Cela tournait à l’obsession.Aussi eus-je une attitude peu de jours après dont j’ai honte encore ne sachant comment l’expliquer. Le soleil revint un matin. En cette fin septembre le mercure touchât aux trente degrés le midi. En un tour de main, je vins rejoindre mon petit coin me délestant à la fois de ma culotte et de mon haut. L’Eté tirait à la fin. Je devais mettre cela à contribution pour parfaire et finir le bronzage et tant pis pour le voisin s’il voulait se rincer l’œil. Je fus certaine qu’il devait me mater. J’adoptais ainsi des poses plus lascives que les autres. J’offrais mon cul avec délice et gambadais des pieds.J’excellais à ce jeu. Cela m’excitait. A Lacanau j’en avais eu si peu l’occasion. Mon voisin avait droit de s’amuser. J’avais droit de lui concéder ces miettes de mon plaisir. Il devait se branler le cochon. Je songeais à ce que pouvait être sa queue. Lourde et épaisse. Le soir même en ses textos j’eus la conviction qu’il avait bel et bien reluqué. Que cela l’avait transporté. Il me dit sans ambages qu’à la veille du retour du neveu il voulait m’offrir à déjeuner. Je crus devoir ne pas refuser. Le poisson était ferré. J’étais assurée maintenant de rencontrer et de dealer avec ledit neveu.Il fit beau ce jour-là. Je me maquillais au point de ressembler à une pute. Ma robe était courte et transparente. J’avais adopté un string dont la base au tout devant était translucide laissant voir assez de la chatte. De toute manière le voisin savait tout de mon anatomie. Je n’avais plus de secret pour lui. J’avais envie de plaire. Cela tombait sur lui. Ne lui étais-je pas redevable ? Il ne put en cela réprimer un sifflement d’admiration. Il ajoutât à mon bonheur lorsqu’il parla de m’emmener à la gargote près de la rivière. Je savais que celle-ci excellait dans les plateaux de fruits de mer.Il avait eu son neveu au téléphone. Il m’expliquât avec un sourire mystérieux que ce dernier lui était débiteur de pas mal de choses. Bref il ne ferait pas de manière à mon encontre. En outre il avait ajouté : « Madame est une bonne amie. Je ne veux pas la décevoir. » Je pris cela pour moi. Cela voulait dire qu’en retour je ne pouvais, je ne devais le décevoir lui aussi. J’eus alors un petit geste à son égard. Affectant que ma sandale ouverte et à talon me fit si mal, j’en extirpais le pied et sans façon le massait devant lui. Il s’exclama goguenard et avec ravissement: « O le joli pied ! »L’idée me traversât que mon mari me battait froid depuis trois jours. Il ne m’avait guère baisé. J’avais envie de queues. Cela aussi m’était du. J’estimais avoir droit à m’offrir au premier venu. Mon gendarme et ami était en l’occurrence davantage qu’un premier venu. Nos regards se croisèrent à l’instant. Il y eût un point éloquent de silence. Nous nous comprimes. En un éclair sa main se posa sur ma cuisse. Il attendit vainement que je la repousse. J’avais décidé que cette journée fut mémorable. Que je m’y amusas comme une folle. Enfin la rivière et notre restaurant parurent.Cette main chaude et caleuse pétrissait ma cuisse me convainquant tout à fait que j’avais envie de folies. Mon gendarme s’appelait Romain. Nous en étions au tutoiement. Soudain tandis que je m’apprêtais à sortir de l’auto il me ramenât de force et m’embrassât. J’eus la confirmation de sa virilité. aydın escort bayan Je succombais. Je lui rendis avec fougue ses baisers. Sa main d’autorité se coulât dans ma culotte tandis que j’écartais machinalement les cuisses. Nous entrâmes dans le restaurant tel des amants. Je m’avisais trop tard qu’il put y avoir des connaissances. C’eût été trop bête d’être attrapés.Heureusement pour nous aucune des trognes ne nous étaient familières. Il y eût du champagne durant le déjeuner. Romain s’employait à sortir le grand jeu. Il s’exclamait : « Tu vaux vraiment le coup! » Je n’en pensais pas moins. Sous la table je lui faisais sauvagement du pied témoignant de mon excitation pour la suite. Il se hasardât bientôt pris par la boisson à quelques propos lestes Nous fûmes comme deux polissons. Il m’avouât qu’il m’avait toujours désiré. Qu’il avait souffert que je le snobas. Il convint qu’il m’avait maté l’autre fois et que mon cul l’avait ébloui. J’éclatais de rire.Je sortis du restaurant lestée de bouffe et d’alcool. Je m’appuyais sur lui offrant ma bouche à la sienne et n’ayant cure tandis que nous allions à la voiture qu’il relevât ma robe d’une main leste et offrit au tout venant l’une de mes fesses bronzées. J’y voyais des façons d’homme et de soudard. Sûrement voulait-il manifester aux autres qu’il allait me faire la fête. Que j’étais pour ce jour une salope obtenue à peu de frais. Je trouvais normal voire jouissif de faire à présent la putain. Il n’eût point de mal à me foutre sa queue dans la bouche. Depuis longtemps je n’avais sucé.Je fis montre de bonne volonté. La pipe dura dix longues minutes. J’excellais en cet art. Beaucoup de mes amants en pourraient témoigner. Romain en savait assez sur le sujet. Je ne pus que goûter son bel hommage. « T’es une sacrée salope. J’ai jamais été sucé comme çà ! » Le porc explosa dans ma bouche. Stoïque je dus avaler son sperme. Je toussais, suffoquais. Il en rigola avec moi. Après que j’eus rincé ma bouche avec un peu d’eau minérale, il démarra vers un hôtel. Il avait tout fomenté. Nous parvînmes à un sordide bouge. Je songeais qu’il devait y avoir ses habitudes.Il ne se contraignait plus avec moi. Il ricanait devant le type de la réception. Il lui signifiait clairement que j’étais une nouvelle salope qu’il amenait ici. Je tremblais un instant qu’il voulut associer celui-ci à nos jeux. Avant d’entrer dans l’ascenseur, il souleva ma robe et ostensiblement m’enfonça un doigt dans le cul. Je protestais. Je savais à quoi m’en tenir pour la suite. Ce porc que j’avais fait jouir auparavant s’était entre temps rechargé. Je dois convenir qu’il était un bon coup. Je ne fus pas déçue. Mon trou de cul fut au propre défoncé. Jamais n’avais- je autant crié et joui.J’eus honte de m’être comportée de la sorte. Je mis cela lâchement sur le compte de l’alcool. N’empêche il m’avait bien baisé. J’aspirais à recommencer avec lui. Ce salopard fut conscient de son ascendant. Il se comportât en maître avec moi. Il me traitait sans vergogne de pute dans ces textos. Le terme curieusement ne me paraissait point déplacé. Il y avait un fond de vérité dans cela. C’était la première fois que j’adhérais à un pareil point de vue. Ce fut le commencement de ma dérive. Parvenue à mes trente ans je me résignais enfin à ce statut de femme facile, pur objet sexuel.La rencontre avec le neveu fut une formalité. Il y eût cependant méprise. Je vins là-bas en une tenue trop sexy. Mon étourderie eût la funeste conséquence que le neveu se crut lui-même autorisé à se payer sur moi du service qu’il me rendait. Pour me rassurer il me confirma que c’était ici le salaire d’usage. Une jeune et jolie recrue passait nécessairement à la casserole. D’ailleurs je dus faire le même sacrifice à d’autres cadres de la boîte plus tard. Cela me confortât hélas en mon nouveau vice. J’appris que le cul dans ce genre de carrière et de navigation est le meilleur gouvernail qui soit.Je me gardais de trop rapporter cela à mon nouvel amant et gendarme. Je ne l’en remerciais pas moins en lui concédant le plus souvent ma personne. Mon mari fut à la fois surpris et enchanté de mon embauche. Il ne vit que l’opportunité que je faisais entrer un plus gros salaire dans le ménage. Il ne vit aucun mystère à ce que je renonças facilement au sexe avec lui. Peut-être s’était-il résigné à ce que j’eus trouvé un amant. Il eût été bien marri de savoir que le voisin honni put être celui-là. Quoiqu’il en soit je devins une créature sans complexe à l’égard du sexe et de tous les hommes.

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